Francia
Gauloise dorée

La scelta del gallo come simbolo francese risale all'Antichità e trae origine dall'assonanza tra gallus (gallo in latino) e Gallus (abitante della Gallia, sempre in latino). Benché sia spesso utilizzato come simbolo del paese, specialmente delle federazioni sportive, il gallo non è mai figurato tra i simboli ufficiali.

Tuttavia, compare - con una sfera sotto le zampe - sul primo e sul secondo controsigillo di Luigi Filippo (Luigi Filippo Borbone d'Orléans, duca d'Orléans, 1773-1850), alla punta delle bandiere che sono incrociate in decusse (pezza costituita da una banda e una sbarra sovrapposte) dietro le armi (lo stemma) di Orléans (1º controsigillo) o dietro il libro aperto che rappresenta la carta costituzionale (2º controsigillo), come sulla punta delle bandiere e degli stendardi della marina, sotto la Monarchia di Luglio.

Nella stessa epoca, i sigilli usati per i trattati internazionali mostrano un gallo, la parola France circondata di raggi, la carta del 1830, una corona chiusa, la Legion d'onore, una corona d'alloro e di quercia, e delle bandiere, delle quali quattro su sei sono sormontate dal gallo. Lo si ritrova anche nell'iconografia del Gran sigillo di Francia e ha rappresentato un'alternativa alla Marianna (giovane donna dal cappello frigio) su francobolli di uso corrente.

Gauloise Dorée

La Gauloise Dorée est une race de poule française, probablement la plus ancienne et celle qui serait génétiquement la plus proche des coqs sauvages. Au-delà de l’oiseau, la Gauloise est incarnée par le Coq Gaulois, devenu symbole national de la France, au même titre que le pygargue à tête blanche pour les États-Unis. En latin gallus signifie à la fois coq et gaulois.

Le coq figure au sommet de très nombreux clochers, en raison du coq des Évangiles et non d'un symbole national. Il surmonte aussi bon nombre de monuments aux morts érigés après la Première Guerre Mondiale. L'emblème de la Wallonie n'est pas le coq gaulois, mais le coq hardi.

L'animal

La Gauloise Dorée est de taille modeste, le coq atteignant 2.5 à 3 kg et la poule 2kg. La poule pond régulièrement au printemps et durant l'été des œufs blanc d'environ 60 grammes. En dépit de sa domestication, cette race a conservé une partie de son caractère sauvage. En particulier la poule peut voler sur plusieurs dizaines de mètres à 5-6 mètres au dessus du sol sans difficulté. La gauloise dorée a bien failli disparaître au sortir de la Seconde Guerre Mondiale mais connaît un nouvel essor grâce aux élevages amateurs.

Origine du symbole de la France

Suétone, dans sa Vie des douze Césars, fit remarquer qu'en latin, coq et gaulois se disaient tous deux gallus. Au début du Bas Moyen Âge (XIIe), les ennemis de la France réutilisèrent le calembour par dérision, faisant remarquer que les Français (tout particulièrement leur roi Philippe Auguste) étaient tout aussi orgueilleux que l'animal de basse-cour. Par esprit de contradiction, les Français reprirent à leur compte cette expression en mettant en avant ce fier animal.
Emblème politique et patriotique

Bien que présent comme figure symbolique en France depuis l'époque médiévale, c'est à partir de l'époque de la Renaissance que le coq commence à être rattaché à l'idée de Nation française qui émerge peu à peu. Sous le règne des Valois et des Bourbons, l'effigie des Rois est souvent accompagnée de cet animal censé représenter la France dans les gravures, sur les monnaies. Même s'il reste un emblème mineur, le coq est présent au Louvre et à Versailles.

Le coq gagna une popularité particulière à l'occasion de la Révolution française et de la monarchie de Juillet, où il fut introduit en remplacement des animaux symboliques de la Royauté (lion et aigle), ainsi que du lys dynastique. Ainsi, à la période révolutionnaire, on le voit figurer sur un écu, orné du bonnet phrygien, sur le sceau du Premier consul et l'allégorie de la fraternité porte souvent un bâton surmonté d'un coq.

Napoléon Ier substitue l'Empire à la République et dès lors l'aigle remplace le coq car pour l'Empereur: "Le coq n'a point de force, il ne peut être l'image d'un empire tel que la France". Après une période d'éclipse, les "Trois Glorieuses" de 1830 réhabilitent l'image du coq français et le Duc d'Orléans, c’est-à-dire Louis-Philippe, signera une ordonnance indiquant que le coq devrait figurer sur les drapeaux et les boutons d'uniformes de la garde nationale.

L'aigle impériale retrouve sa place avec Napoléon III, comme signe de la permanence de l'Empire. Après cela, le coq ne retrouva jamais une véritable autorité au niveau politique. On peut seulement trouver quelques références éparses, telles que: le sceau de la IIe République représentant la figure de la Liberté tenant un gouvernail marqué du coq; sous la IIIe République: la grille du Palais de l'Elysée fut ornée d'un coq, "la grille du coq" que l'on peut voir encore actuellement; la pièce d'or de 20 francs frappée en 1899 et circulant jusqu'en 1914, dont le dos est orné d'un coq; le coq apparaît occasionnellement sur des timbres.

L'insigne des maires

Créé par un décret du 22 novembre 1951, l'insigne officiel des maires aux couleurs nationales est conforme au modèle ci-après: « Sur un fond d'émail bleu, blanc et rouge portant « MAIRE » sur le blanc et « R.F. » sur le bleu; entouré de deux rameaux de sinople, d'olivier à dextre et de chêne à senestre, le tout brochant sur un faisceau de licteur d'argent sommé d'une tête de coq d'or barbée et crêtée de gueules. » Le port de l'insigne officiel des maires aux couleurs nationales, dont l'usage est facultatif, est réservé aux maires dans l'exercice de leurs fonctions et ne dispense pas du port de l'écharpe lorsque celui-ci est prescrit par les textes en vigueur.

Emblème sportif

Depuis les années 1980, le coq gaulois a eu un regain de popularité important avec les compétitions sportives (en particulier le football et le rugby), où il est l'emblème incontesté de la nation française. Cependant, sa présence sur les logos et autres maillots des équipes et fédérations est souvent discutée. Ainsi lorsqu'en 1997, le CNOSF décide de retirer le coq du logo officiel, certaines personnalités célèbres (dont la plus indignée était Alain Mimoun) s'élevèrent pour dénoncer cette atteinte aux valeurs de la France. Beaucoup de sportifs ne cachent pas que porter un maillot frappé du coq constitue un honneur supplémentaire.

Logo de la Fédération française de football. Il maintient deux caractéristiques identitaires traditionnelles: le coq emblématique et les couleurs nationales. Le logo représente « un coq issu de la forme arrondie d’un ballon délié, en même temps qu’il évoque le dynamisme du football français. Les rubans qui le composent sont le symbole de la continuité entre le passé et l’avenir, mais aussi la mise en perspective des valeurs de fête et d’enthousiasme que suscite le football. Le logotype de l’Équipe de France de football reprend les mêmes codes symboliques que celui de la FFF, mais voit son coq revêtir la couleur Or afin d’établir le lien avec le blason que l’on retrouve sur le maillot des Bleus.

Cinéma

En 1905, la société de cinéma française Pathé Frères crée son logo représentant un coq gaulois. Le coq reste aujourd'hui encore son emblème avec un changement de design intervenu en mars 1999. Le coq s'appelle "Charlie" (en référence au fondateur Charles Pathé) et fait figure de mascotte pour la société, proclamant fièrement le nom de l'entreprise avec l'utilisation de phylactères ("Pathé"). Il apparaît dans diverses poses et est censé symboliser la fière histoire de l'entreprise. Bien que légèrement irrévérencieux, Charlie sert d'unification au sein de l'entreprise et de marque "porte-parole" dans la sphère publique.

Cocorico!

Le coq gaulois étant l'emblème de la France, son cri, « Cocorico! » est utilisé par certains Français pour manifester leur chauvinisme, probablement parce que ce cri est interprété comme une manifestation d'orgueil de la part du coq.