LE POULAILLER
IL POLLAIO
di Charles-Émile Jacque

1858

PARTE SECONDA
Capitolo 2


[100] DEUXIÈME PARTIE

PARTE SECONDA

CHAPITRE II

CAPITOLO II

Du plumage.

Il piumaggio

Chez la poule, on peut établir trois catégories de plumes.

Nella gallina si possono distinguere tre categorie di piume.

1° Les grandes, qui ne se trouvent qu’à l’aile pour le vol et au croupion pour former la queue; 2° les moyennes, qui servent de recouvrement aux grandes et se trouvent aussi à l’aile et au croupion; 3° les petites, qui couvrent le cou, le dos, les flancs, la poitrine, les épaules et une partie des ailes. Toutes sont de dimension et de formes variées, même dans chaque catégorie; mais les principales portent le cachet indiqué; elles sont toujours par plaques qui se joignent en se recouvrant les unes les autres, comme font les tuiles.

1 - Le grandi, che si trovano soltanto sull’ala per il volo e nel codrione per formare la coda; 2 - le medie, che servono di copertura alle grandi e si trovano pure sull’ala e sul codrione; 3 - le piccole, che coprono il collo, il dorso, i fianchi, il petto, le spalle e una parte delle ali. Sono tutte di dimensioni e forme svariate, anche in ogni categoria; ma le principali hanno lo stile prestabilito; sono sempre in lamine che si congiungono ricoprendosi le une con le altre, come fanno le tegole.

Nous nous contenterons de les désigner par le nom des places qu’elles occupent ou des fonctions qu’elles remplissent, sans nous embrouiller dans des noms scientifiques, et nous renverrons aux figures[1] qui les feront facilement reconnaître (fig. 49, 50, 51 et 52).

Ci accontenteremo di indicarle col nome delle posizioni che occupano o delle funzioni che assolvono, senza ingarbugliarci in nomi scientifici, e ricorreremo alle figure che le faranno riconoscere facilmente (fig. 49, 50, 51 e 52).

A. Les supérieures de la tête sont très-petites dans les espèces non huppées; elles entourent le crâne.

A. Le superiori del capo sono molto piccole nelle specie senza ciuffo; esse contornano la testa.

B. Les inférieures de la tête sont presque à l’état de poils; elles garnissent les joues et l’intervalle qui sépare les barbillons.

B. Le inferiori del capo sono pressoché allo stato di peli; guarniscono gli orecchioni e la zona che separa i bargigli.

[101] C. Les supérieures et le postérieures du cou, petites et allongées par en haut, s’élargissent par en bas et forment ce qu’on appelle le camail. Elles se prolongent en arrière entre le deux épaules, où elles recouvrent le commencement de celles du dos et de la naissance des ailes.

C. Le superiori e le posteriori del collo, piccole e allungate verso l'alto, si allargano verso il basso e formano ciò che è detto la mantellina. Si estendono all’indietro tra le due spalle, dove ricoprono l'inizio di quelle del dorso e della nascita delle ali.

Fig. 49 – Piumaggio della gallina vista sul dorso.

D. Les antérieures du cou prennent du haut du cou jusqu’à la poitrine, dont elles recouvrent les premières plumes.

D. Le anteriori del collo occupano dall’alto del collo fino al petto, del quale ricoprono le prime piume.

E. Celles du dos forment une espèce de plaque d’environ 0m.10. Ces plumes, quoique de la même nature que celles du cou, sont [102] un peu plus grandes qu’elles; elles recouvrent les plumes des reins.

E. Quelle del dorso formano una specie di placca di circa 0,10 m. Queste piume, sebbene della stessa natura di quelle del collo, sono un po’ più grandi di esse; ricoprono le piume dei lombi.

F. Celles de la poitrine couvrent dans toute leur longueur les deux muscles pectoraux, en longeant le sternum à l’arête duquel elles viennent de chaque côté se rejoindre. Leur ensemble forme le plastron. Ces plumes recouvrent celles des flancs conjointement avec les plumes des reins.

F. Quelle del petto coprono in tutta la loro lunghezza i due muscoli pettorali rasentando lo sterno, sulla linea del quale vengono a riunirsi da ogni lato. Il loro insieme forma la pettorina. Queste piume ricoprono quelle dei fianchi congiuntamente con le piume dei lombi.

G. Les plumes des reins, grande plaque qui couvre les reins et les enveloppe en prenant du dos jusqu’au croupion, qu’elles dépassent pour recouvrir les plumes de la queue; sur les côtés elles recouvrent le commencement des plumes des flancs, des cuisses et de l’abdomen.

G. Le piume dei lombi, grande placca che copre i lombi e li avviluppa estendendosi dal dorso fino al codrione, che esse sorpassano per ricoprire le piume della coda; sui lati rivestono l’inizio delle piume dei fianchi, delle cosce e dell’addome.

H. Celles des flancs, plumes d’une nature légère et touffue. Elles recouvrent la partie supérieure des plumes des cuisses, et se glissent sous le plastron.

H. Quelle dei fianchi, piume di natura soffice e folta. Ricoprono la parte superiore delle piume delle cosce e si infilano sotto la pettorina.

I. Celles de l’abdomen, qui couvrent et enveloppent toute cette partie depuis le bout du sternum jusqu’au croupion. Ces plumes sont ordinairement touffues, d’une nature soyeuse, et s’étalent en houppe.

I. Quelle dell’addome, che coprono e avvolgono tutta questa parte dalla fine dello sterno fino al codrione. Queste piume sono abitualmente folte, di tipo setoso, e si stendono a piumino.

J. Les externes des cuisses recouvrent celles de l’abdomen et de la jambe ou pilon.

J. Le esterne delle cosce ricoprono quelle dell’addome e della gamba o pestello.

K. Les internes des cuisses sont aplaties et d’une nature soyeuse.

K. Le interne delle cosce sono schiacciate e di aspetto serico.

L. Les externes et les internes de la jambe ou pilon, qui s’arrêtent au calcanéum, ou, si l’on veut, à l’articulation du canon de la patte. Dans certaines espèces, elles le dépassent peu ou beaucoup et forment des prolonges, qu’on appelle manchettes.

L. Le esterne e le interne della gamba o pestello, che si fermano al calcagno, o, se si vuole, all’articolazione della canna della zampa. In certe specie, esse lo sorpassano poco o molto, e formano dei prolungamenti detti manichette.

M. Celles des pattes ou du canon, longues, courtes ou absentes dans les différentes races. Ces plumes longent le canon au nombre d’une ou plusieurs rangées; elles sont toujours à la partie externe.

M. Quelle delle zampe o della canna, lunghe, corte o assenti nelle differenti razze. Queste piume costeggiano la canna nel numero di una o più file; sono sempre nella parte esterna.

N. Celles des doigts apparaissent sur les côtés externes.

N. Quelle delle dita emergono sui lati esterni.

O. Les moyennes caudales, qui enveloppent le croupion et recouvrent les grandes plumes de la queue.

O. Le caudali medie, che avvolgono il codrione e ricoprono le grandi piume della coda.

P. Les grandes caudales, qui sortent en une rangée régulière de sept de chaque côté du croupion, et forment la queue.

P. Le grandi caudali, che escono in una fila regolare di sette da ogni lato del codrione, e formano la coda.

Q. Les externes du bras poussent sur la peau qui enveloppe le bras ou humérus, et recouvrent une partie des autres plumes de [103] l’aile. Elles forment l’épaule. Il serait facile de se tromper sur le compte de ces plumes si l’on n’ouvrait bien l’aile pour les observer; ce sont les plus rapprochées du corps; elles sont réunies en bouquet.

Q. Le esterne del braccio crescono sulla pelle che riveste il braccio o omero, e ricoprono una parte delle altre piume dell’ala. Esse formano la spalla. Sarebbe facile sbagliarsi sul conteggio di queste piume se non si apre bene l’ala per osservarle; sono le più vicine al corpo; sono riunite in mazzetto.

R. Les internes du bras, plumes petites, rares et grêles.

R. Le interne del braccio, piccole piume, rade e tenui.

Fig. 50. – Piumaggio della gallina vista ventralmente.

S. Les grandes de l’avant-bras, qui forment, ouvertes, une grande surface bombée, et sont de différentes dimensions. Ces plumes poussent au bord inférieur de l’avant-bras; elles sont en partie recouvertes par:

S. Le grandi dell’avambraccio, che formano, aperte, una grande superficie convessa, e sono di dimensioni diverse. Queste piume crescono nel bordo inferiore dell’avambraccio; sono ricoperte parzialmente da:

[104] T. Les moyennes externes de l’avant-bras. Ces plumes sont de différentes dimensions; elles sortent de la peau de toute la surface extérieure formée par le radius et le cubitus, et de la grande partie membraneuse qui va du bras à l’avant-bras. Elles commencent toutes petites vers le bord supérieur, et se terminent assez grandes à l’inférieur.

T. Le medie esterne dell’avambraccio. Queste piume sono di dimensioni differenti; emergono dalla pelle di tutta la superficie esterna formata dal radio e dall’ulna, e dalla vasta parte membranosa che va dal braccio all’avambraccio. Iniziano molto piccole verso il bordo superiore, e terminano abbastanza grandi nel bordo inferiore.

U. Les internes de l’avant-bras, plumes serrées, moyennes et petites, qui recouvrent les grandes de l’avant-bras à leur naissance.

U. Le interne dell’avambraccio, piume fitte, medie e piccole, che ricoprono quelle grandi dell’avambraccio alla loro origine.

V. Les grandes du vol, ou plumes de la main; assemblage de grandes plumes fortes qui sert le plus à l’oiseau dans la locomotion; elles sortent du bord inférieur de ce qu’on appelle le bout de l’aile.

V. Le grandi del volo, o piume della mano; insieme di grandi piume robuste che serve maggiormente agli uccelli per la locomozione; esse nascono dal bordo inferiore di ciò che si chiama l’estremità dell’ala.

X. Les externes du vol, qui recouvrent les grandes; ces plumes sont roides et bien aplaties sur les autres.

X. Le esterne del volo, che ricoprono le grandi; queste piume sono rigide e ben appiattite sulle altre.

Y. Les internes du vol, plumes petites et moyennes qui recouvrent la naissance des plumes du vol.

Y. Le interne del volo, piume piccole e medie che coprono l’emergenza delle piume del volo.

Z. Un appendice, appelé pommeau de l’aile, qui représente la partie digitée et se trouve placé à l’articulation de l’avant-bras et de la main, porte quelques plumes moyennes de la nature des grandes de la main et quelques petites de recouvrement. Ces plumes jouent un rôle dans le vol.

Z. Un’appendice, chiamata pomello dell’ala, che rappresenta la parte digitata e si trova posta in corrispondenza dell’articolazione dell’avambraccio e della mano; porta alcune piume medie della natura delle grandi della mano e alcune piccole di copertura. Queste piume svolgono un ruolo durante il volo.

Quand l’aile entière est ployée, presque tout se trouve, à peu de chose près, caché par les grandes plumes de l’avant-bras, et surtout par les moyennes de recouvrement.

Quando l’intera ala è piegata, pressapoco quasi tutto si trova nascosto dalle grandi piume dell’avambraccio, e soprattutto dalle medie di copertura.

Les divisions des plumes sont les mêmes chez le coq que chez la poule; mais les formes de quelques-unes d’entre elles sont différentes.

Le suddivisioni delle piume sono le stesse nel gallo e nella gallina; ma le forme di alcune di loro sono differenti.

Chez le coq, les plumes qui constituent le camail sont fines, ténues, pointues, allongées, s’étalent comme une crinière jusque sur les épaules, et recouvrent une partie du plastron et des plumes antérieures du cou.

Nel gallo le piume che formano la mantellina sono sottili, tenui, appuntite, allungate, si distendono come una criniera fin sulle spalle e ricoprono una parte della pettorina e delle piume anteriori del collo.

Celles du dos leur font suite et affectent un peu les mêmes formes.

Quelle del dorso fanno loro seguito e ostentano un po’ le stesse forme.

Celles des reins sont dans le même cas, et elles viennent, en s’allongeant au fur et à mesure qu’elles s’approchent du croupion, cacher l’abdomen et inonder les cuisses d’un faisceau de lancettes pendantes.

Quelle dei lombi sono nella stessa situazione e, allungandosi man mano che si avvicinano al codrione, finiscono col nascondere l’addome e a inondare le cosce con un fascio di lanceolate pendenti.

[105] Les plumes moyennes de recouvrement des ailes, sans être pointues, participent de cette nature. Les plumes moyennes de recouvrement de la queue changent complètement de forme et de dimension, puisque chez le coq elles deviennent les plus grandes. Elles

Le piume medie di copertura delle ali, senza essere appuntite, sono di questo tipo. Le piume medie di copertura della coda cambiano completamente forma e dimensione, poiché nel gallo diventano le maggiori. Esse

Fig. 51 – Piume dell’ala, faccia esterna.

Fig. 52 – Piume dell’ala, faccia interna.

sont de differentes proportions, et affectent toutes la forme demi-circulaire et retombante; les deux plus grandes se nomment grandes faucilles; et les autres se nomment moyennes et petites faucilles. Les grandes plumes qui constituent la queue chez les poules existent [106] aussi longues chez le coq, mais disparaissent à peu près sous l’abondance et le luxe des faucilles.

sono di diverse misure e tutte mostrano la forma a semicerchio e ricadente; le due più grandi si chiamano grandi falci e le altre si chiamano medie e piccole falci. Le grandi piume che nelle galline costituiscono la coda sono lunghe tanto come nel gallo, ma quasi scompaiono sotto l'abbondanza e la quantità delle falciformi.

On trouve de plus, réunis ou isolés, dans certaines espèces, différents assemblage de plumes, dont la désignation suit:

In più si trovano, riunite o isolate, in certe specie, diverse compagini di piume, da cui la denotazione seguente:

Huppe. Touffe considérable de plumes longues, tantôt pointues ou arrondies, tantôt droites ou retombantes, posées sur le sommet du crâne et affectant différentes dispositions suivant la race.

Ciuffo. Cespuglio abbondante di piume lunghe, talvolta appuntite o arrotondate, talvolta dritte o ricadenti, poste sulla sommità del cranio e dotate di disposizione diversa a seconda della razza.

Demi-huppe. Composée des mêmes éléments, mais moitié moins forte que la huppe entière.

Mezzo ciuffo. Composto dagli stessi elementi, ma ricco la metà rispetto al ciuffo intero.

Épis. Petite touffe de plumes courtes, ténues, droites ou un peu retombantes, occupant la même place.

Spiga. Ciuffetto di piume corte, sottili, diritte o un po’ ricadenti, che occupa la stessa area.

Favoris. Touffe de petites plumes pointues ou arrondies, ordinairement retroussées, qui entourent la joue.

Favoriti. Ciuffo di piccole piume appuntite o arrotondate, abitualmente rivolte all'insù, che circondano l’orecchione.

Cravate ou jabot. Touffe de plumes plus ou moins longues et pendantes, qui partent de dessous le bec et descendent le long du cou plus ou moins bas.

Cravatta o davantino. Ciuffo di piume più o meno lunghe e pendenti, che partono da sotto il becco e scendono lungo il collo più o meno in basso.

Collier. Touffe de plumes retroussées qui entourent les joues et passent en se rejoignant par-dessous le bec.

Collana. Ciuffo di piume rivolte all'insù che circondano le guance e passano ricongiungendosi sotto il becco.

Une variété inouїe de couleurs et de dessins appartenant à chaque race, augmentée de toutes les combinaisons survenues dans les croisements, ferait de la connaissance des différents plumage une étude interminable. Cependant, avec de la patience, on peut se faire facilement une idée de la robe d’une espèce, en examinant isolément une plume de chaque région du corps. On ne trouvera jamais, il est vrai, une plume identiquement semblable dans les détails à celle qu’on aura prise pour modèle, attendu que la nature, toujours occupée de doter chaque chose d’une personnalité qui lui appartienne, ne fait jamais deux objets absolument pareils; mais on retrouve dans les plumes d’une même région une analogie qui constitue dans l’ensemble une régularité, une conformité charmantes, dont cependant [107] la différence insaisissable exclut l’idée d’une fabrication mécanique.

Una varietà straordinaria di colori e di disegni caratteristici di ciascuna razza, accresciuta da tutte le combinazioni intervenute negli incroci, renderebbe la conoscenza dei diversi piumaggi uno studio interminabile. Tuttavia, con pazienza, ci si può fare facilmente un’idea dell’abito di una razza, esaminando singolarmente una piuma di ogni regione del corpo. Non si troverà mai, è vero, una piuma identicamente simile nei dettagli a quella che si sarà presa per modello, visto che la natura, sempre occupata a dotare ogni cosa di una individualità propria, non fa mai due cose del tutto uguali; ma si ritrova nelle piume di una stessa regione un’analogia che nell’insieme ha valore di una regolarità, di una concordanza affascinanti, di cui tuttavia l’impercettibile differenza esclude il concetto di creazione meccanica.

C’est ce qui donne la vie aux belles productions artistiques; c’est ce qui constitue le côté pittoresque des armes, des meubles, de tous les ustensiles d’autrefois, où l’on retrouve la main de l’homme; c’est ce qui fait l’individualité dont manque aujourd’hui tout ce qui ne peut se débarrasser des étreintes de l’industrie. Nous donnerons, en son lieu et place, le dessin de la plume qui caractérise chaque région, et cela nous servira à décrire plus clairement l’aspect général des espèces et de leurs variétés.

È ciò che dà vita alle belle produzioni artistiche; è ciò che costituisce la parte pittoresca delle armi, dei mobili, di tutti gli utensili del passato, in cui si ritrova la mano dell’uomo; è ciò che produce l’individualità di cui manca oggi tutto ciò che non si può liberare dalla morsa dell’industria. Noi daremo, al suo posto, il disegno della piuma che caratterizza ogni regione, e ciò ci servirà per descrivere con maggior chiarezza l’aspetto generale delle razze e delle loro varietà.

C’est une des particularités qui distinguent les espèces de luxe ou d’agrément, que le plumage soit ordinairement bien plus éclatant et plus varié chez la poule que chez le coq, tandis que c’est le contraire qui a lieu dans les espèces destinées à la consommation.

Una delle particolarità che distinguono le razze di lusso o amatoriali, è il fatto che il piumaggio sia abitualmente molto più vistoso e più vario nella gallina che nel gallo, mentre accade il contrario nelle razze destinate al consumo.

Aussi commencerons-nous, chez les premières, par décrire celui de la poule avant celui du coq, tandis que chez les autres nous procéderons par la voie opposée.

Così, per le prime, inizieremo col descrivere quello della gallina prima di quello del gallo, mentre per le altre procederemo in senso opposto.



[1] On remarquera que les lettres de renvoi correspondent à celles des quatre figures, de sorte que, lorsqu’un détail est peu intelligible sur l’une, il est aussitôt éclairci sur l’autre. - Si noterà che le lettere di rinvio corrispondono a quelle delle quattro figure, di modo che, quando un dettaglio è poco comprensibile su una, viene subito chiarito sull’altra. [ Jacque]