Etimologia
botanica
di Alexandre de Théis
1810
Biografie botaniche
L
Jacques–Julien Houtou de La Billardière (Alençon, 28 ottobre 1755 – Parigi, 8 gennaio 1834) è stato un botanico francese. § Jacques–Julien Houtou de La Billardière, né le 28 octobre 1755 à Alençon et mort à Paris le 8 janvier 1834, est un botaniste français. Après de bonnes études, faites dans le collège de sa ville natale, La Billardière étudie la médecine à Montpellier, où il suit les cours de botanique de Goüan et Reims et passe son doctorat en médecine à Paris en 1780. Il s’oriente vers l’histoire naturelle et, « À compter de cette époque, sa vie n’est plus qu’une suite presque non interrompue de voyages ou de recherches pour la botanique. » Un premier voyage le conduisit en Angleterre, où il étudie, sous la direction de Sir James Edward Smith (1759–1828) et de Sir Joseph Banks (1743–1820), les riches herbiers recueillis, de presque tous les points du globe, par ce dernier lors du premier voyage de Cook. De retour en France, il herborise, parcourant, sous la direction de Villars, les montagnes du Dauphiné, puis les Alpes piémontaises avec Bellardi et Balbi. Soutenu par Le Monnier, il reçoit, en 1786, une mission du gouvernement français pour visiter Chypre, la Palestine et la Syrie. Arrêté en Syrie par la peste et la guerre, il se borne à explorer le mont Liban, où il trouva la fameuse forêt de cèdres réduite à une centaine d’arbres, recueillit des plantes, et fait des observations sur la culture et les mœurs des habitants druzes et maronites. Il se livre aussi à des opérations de géométrie, et fixe la hauteur du sommet le plus élevé de la célèbre montagne du Sannin, à 1491 toises au–dessus de la mer. Le Liban, comme toutes ses montagnes très élevées, lui présenta tous les climats par ses diverses hauteurs et, par conséquent, les productions les plus variées. Ces climats superposés lui donnèrent au bas de la montagne les productions des pays chauds, au milieu celles des pays tempérés, près du sommet celles des pays froids. « Le Liban, répète–t–il d’après les poètes arabes, porte l’hiver sur sa tête, le printemps sur ses épaules, et l’automne dans son sein, pendant que l’été dort à ses pieds. » La Billardière pousse ses courses jusqu’à Damas, et revient en France en visitant les îles de Candie, de Sardaigne, de Corse, dont il rapporte un grand nombre de plantes. À son retour, il commence la publication de ses travaux, classée par décades, sous le titre de: Icones Plantarum Syrix rariorum descriptionibus et observationibus illustratæ; Paris, 1791, in–4°, avec des figures de Redouté, travail qui ne sera achevé qu’en 1812. Le 9 février 1791, l’Assemblée constituante décrète qu’une expédition serait faite pour la recherche de l’expédition de La Pérouse en Océanie. Placée sous les ordres de Bruny d’Entrecasteaux et de Huon de Kermadec, cette mission, chargée de tenter de retrouver les vaisseaux la Boussole et l’Astrolabe, se composait des flûtes la Recherche et l’Espérance, montées par deux cent dix–neuf personnes: La Billardière obtint d’en faire partie. Il prit passage sur la Recherche, et partit de Brest le 28 septembre 1791, abordant le 13 octobre à Ténériffe, visita son pic fameux, et en releva l’histoire naturelle. Le 17 janvier 1792, il relâcha au cap de Bonne–Espérance, où d’Entrecasteaux reçut un message de Saint–Félix, commandant la station des mers de l’Inde, lequel l’informait que le commodore anglais Hunter affirmait avoir vu des hommes en uniformes français dans les îles de l’Amirauté. La Billardière met à profit le temps de son séjour au Cap pour explorer les montagnes de la Table, du Lion, Stellenbosch et leurs environs. Il s’avance même dans l’intérieur jusqu’à Fransche–Hoek, à la rencontre d'une colonie française de protestants émigrés en 1675. Il enrichit ses collections de beaucoup de plantes peu connues ou mal décrites jusque là. L'expédition appareille le 16 février. Au bout d'un peu plus de deux mois de navigation difficile les navires mouillent sur la côte de Van–Diemen, dans un port qui reçut le nom d’Entrecasteaux (23 avril 1792), La Billardière et les autres naturalistes font plusieurs excursions dans les terres. Radoubés, les vaisseaux de l’expédition de secours effectuent une reconnaissance du sud–ouest de l’Australie, de la Tasmanie, de la Nouvelle–Zélande. La Billardière, Claude Antoine Gaspard Riche (1762–1798) et Étienne Pierre Ventenat (1757–1808) en profitent pour effectuer d’amples collections de spécimens zoologiques, botaniques et géologiques, et décrire les coutumes et les langues des aborigènes d’Australie. L’expédition, après une longue et périlleuse navigation, après avoir perdu son chef et quatre–vingt huit hommes de ses équipages, aborde enfin en octobre 1793 à Java où, les guerres révolutionnaires ayant éclaté entre–temps, elle est déclarée prisonnière de guerre par les Hollandais, les vaisseaux capturés et les collections de La Billardière envoyées en Grande–Bretagne. Détenu successivement à Samarang, puis à Batavia, La Billardière ne fut rendu à la liberté que le 9 germinal an III. Il peut alors gagner l’Ile de France; mais ses collections, contenant plus de quatre mille plantes, dont les trois quarts étaient d'espèces jusque alors inconnues, avaient été transportées en Angleterre. Son ancien maître, le célèbre Sir Joseph Banks (1743–1820) intercède en sa faveur et obtient des autorités britanniques qu’elles lui renvoient ses collections intactes: « J’aurais craint, disait–il, d’enlever à un homme une des idées botaniques qu’il était allé conquérir au péril de sa vie. » En 1796, La Billardière revient à Paris où il avait été nommé correspondant de l’Académie royale des sciences. Le 18 août 1792, il est admis à l’Institut, en 1800, en remplacement de Lhéritier et s’occupa exclusivement de mettre en ordre ses matériaux et de publier le résultat de ses observations. [L'Institut de France (Istituto di Francia) è stato costituito il 25 ottobre 1795; esso raggruppa cinque accademie: l'Académie française, fondata nel 1635; l'Académie des inscriptions et belles–lettres, fondata nel 1663; l'Académie des sciences, fondata nel 1666; l'Académie des beaux–arts, fondata nel 1816; l'Académie des sciences morales et politiques, fondata nel 1795.] Lors de la campagne d’Italie, il est envoyé en Italie comme membre de la Commission des Sciences et des Arts, à la suite du général Bonaparte, afin d’enrichir les collections des musées nationaux. Il tire un récit de son voyage en Océanie: Relation du voyage à la recherche de La Pérouse (1799) qui deviendra un best–seller international. Il devient membre de l’Académie des sciences le 5 frimaire an IX. De 1804 à 1806, il publie Novae Hollandiae plantarum specimen, une description extensive de la flore d’Australie. Il a planté des Eucalyptus en 1804 à la Malmaison. Il s’intéresse également à la qualité de l’indigo et publie une étude relative à la mesure de la couleur de ce colorant: Colorimètre: description d’un colorimètre et du moyen de connaître la qualité relative des indigos (1827). Ami de Louis–Augustin Bosc d'Antic (1759–1828), d'André Michaux (1746–1802), il devint ami et correspondant de Jean–Marie Léon Dufour (1780–1865) et de Jean–Baptiste Bory de Saint–Vincent (1778–1846). « Le trait dominant du caractère de M. de La Billardière était le goût ou plutôt la passion de l’indépendance. Pour être plus libre il vivait seul; il s’était arrangé pour que tout dans sa vie ne dépendit que de lui: son temps, sa fortune, ses occupations; ami sincère, mais d’une amitié circonspecte et toujours prête à s’effaroucher à la moindre apparence de sujétion. » Son œuvre est honorée de plusieurs noms scientifiques, y compris le genre Billardiera et l’espèce de graminée Poa labillardieri.
Jean–Nicolas de La Hire, né à Paris en 1685 et mort le 18 juin 1727, est un médecin et botaniste français. Il est le fils du mathématicien et astronome Philippe de La Hire (1640–1718) et frère du mathématicien Gabriel–Philippe de La Hire (1677–1719). Il suit les conseils de son père et étudie la médecine. Il devient membre de l'Académie des sciences en 1710 et devient docteur en médecine l'année suivante. Il meurt en laissant inachevé un ouvrage de botanique dont les planches étaient réalisées suivant une méthode qu'il avait mise au point. On conjecture qu'il s'agissait d'utiliser les plantes elles–mêmes comme support en relief pour imprimer le papier. La qualité des images était remarquable mais Jean–Nicolas de La Hire a emporté dans la tombe le secret de sa technique.
Monet de La Marck – Jean Baptiste Pierre Antoine de Monet de Lamarck – Jean–Baptiste Lamarck, nato Jean–Baptiste Pierre Antoine de Monet cavaliere di Lamarck (Bazentin–le–Petit, 1º agosto 1744 – Parigi, 18 dicembre 1829), è stato un biologo, zoologo e botanico francese. Coniò verso la fine del XVIII secolo il termine "biologia" ed elaborò il Lamarckismo, ovvero la teoria sulla eredità dei caratteri acquisiti. Partecipò alla Guerra dei sette anni nell'armata al comando del duca de Broglie. Rientrato in Francia si stabilì a Parigi dove si dedicò allo studio della biologia, della meteorologia e della botanica. Dopo aver abbandonato gli studi in medicina si dedicò allo studio della botanica sotto la supervisione di Bernard de Jussieu. Cominciò a farsi conoscere col catalogo descrittivo La flore française, compilato con un nuovo metodo da lui introdotto. Fece quindi un viaggio attraverso l'Europa come accompagnatore del figlio di Georges–Louis Leclerc, conte di Buffon. Al ritorno lavorò alla Encyclopédie methodique continuando il lavoro di Diderot e d'Alembert. Ebbe poi la cattedra di "zoologia degli invertebrati" al Muséum national d'historie naturelle. Da allora concentrò i suoi interessi sulla zoologia, dedicandosi in modo particolare ai molluschi viventi e fossili. A lui si devono il riordinamento, le divisioni e le suddivisioni degli animali e il termine biologia, esposto nella grande Encyclopédie alla cui redazione sostituì D'Alembert. Con la pubblicazione nel 1809 dell'opera Philosophie zoologique, Lamarck giunse alla conclusione che gli organismi, così come si presentavano, fossero il risultato di un processo graduale di modificazione che avveniva sotto la pressione delle condizioni ambientali. Nel tentativo di dare una spiegazione a quella che era una prima teoria evoluzionista, egli basò la sua teoria su tre idee: 1) La grande varietà di viventi: Lamarck riteneva che poche specie fossero riuscite a mutare nel corso degli anni. 2) L'uso e il non uso degli arti: secondo Lamarck, le specie avevano con il tempo sviluppato gli organi del loro corpo che permettevano di sopravvivere e di adattarsi all'ambiente. Per spiegare questa idea ricorse all'esempio delle giraffe: in un primo momento, secondo Lamarck, sarebbero esistite solo giraffe con il collo corto; queste ultime, per lo sforzo fatto per arrivare ai rami più alti, sarebbero poi riuscite a sviluppare collo e zampe anteriori e quindi ad avere organi adatti alle circostanze. 3) L'ereditarietà dei caratteri acquisiti: Lamarck credeva che le specie tramandassero i caratteri acquisiti (il collo e le zampe più lunghi nel caso delle giraffe) ai discendenti. La teoria evoluzionista successiva ha abbandonato la teoria lamarckiana, soprattutto per quanto riguarda l'ereditarietà dei caratteri acquisiti: è ormai appurato che le mutazioni somatiche (che riguardano cioè il corpo) non si possono trasmettere ereditariamente, perché esse non intervengono sul patrimonio genetico dell'individuo che sarà poi trasmesso alla progenie. Tuttavia, gli ultimi studi sul citoplasma, sulla clonazione somatica riproduttiva nei mammiferi e sui citoplasti universali stanno dimostrando che tale teoria, contrariamente a quanto era stato ritenuto in precedenza, è integrabile in alcune sue parti con quella della selezione naturale del biologo inglese Charles Darwin (che era tra l'altro un estimatore di Lamarck). Nonostante ciò, Lamarck rimane il primo scienziato a propugnare una teoria evoluzionista che affermasse la mutazione delle specie nel corso del tempo (idea che sarà poi condivisa da Darwin). In questo modo infatti Lamarck portava la biologia fuori dal creazionismo e fondava una prospettiva dinamica della storia della natura.
Jean–François de La Pérouse, nome completo Jean François de Galaup, conte de La Pérouse (o de Lapérouse) (Château du Gô, 23 agosto 1741 – Vanikoro, 1788), è stato un navigatore, geografo ed esploratore francese. Originario di un'antica e benestante famiglia aristocratica della città di Albi in Linguadoca, Jean François era il primo dei dieci figli di Victor–Joseph de Galaup (1709–1784) e di Marguerite de Resseguier. Unico figlio maschio della coppia (gli altri morirono in tenera età) fu probabilmente indirizzato verso la carriera in marina da un amico di famiglia e lontano parente del padre, l'ammiraglio Clément Taffanel de La Jonquiere (1706–1795) che divenne il tutore del giovane Jean François nei suoi primi anni in marina. All'età di 15 anni si recò quindi a Brest per intraprendere la carriera di ufficiale di marina. Per favorire la propria carriera, facilitata a coloro che avevano origini nobili, aggiunse al cognome de Gaulup un'appendice derivata dal nome di una piccola tenuta di famiglia situata nei pressi di Albi chiamata La Peyrouse. Durante la guerra dei sette anni fu imbarcato su diverse navi, nel 1759 era sul vascello Formidable; in uno scontro contro la flotta britannica guidata da Lord Hawke fu ferito e fatto prigioniero fino al 1760. Negli anni successivi navigò su diverse imbarcazioni, nel 1767 ottenne il suo primo comando, la nave Adour. Nei due anni successivi alternò viaggi intorno alla costa francese con periodi trascorsi a casa, qui gli giunse la notizia del ritorno in Francia di Louis Antoine de Bougainville (1769) che lo ispirò a imitarne le gesta. Dal 1772 al 1776 viaggiò, su incarico del governatore francese, nell'Oceano Indiano fra i territori di Mauritius, Réunion, Pondicherry e in meridione lungo le coste del Madagascar ampliando le sue conoscenze geografiche. Al suo ritorno fu promosso e gli fu conferito un titolo nobiliare. Alla notizia del ritorno in Inghilterra dell'esploratore britannico James Cook, il governo francese decise di organizzare un viaggio analogo e per il comando la scelta cadde su La Pérouse. Furono approntate due navi, l'Astrolabe e la Boussole, a bordo era prevista la presenza di un folto gruppo di scienziati, astronomi, matematici, geologi, mineralogisti e botanici. Fra gli obiettivi della spedizione vi erano l'esplorazione dell'Oceano Pacifico e la ricerca di eventuali sbocchi per il commercio, dall'estremo nord fino all'Australia, dall'Asia all'America. Le due navi salparono da Brest il 1º agosto 1785, la prima tappa fu Tenerife e nel gennaio del 1786 raggiunsero la Patagonia. Doppiarono Capo Horn e l'Isola di Pasqua per salire verso l'Alaska. La Pérouse, che si considerava un illuminista, rinunciò volontariamente a prendere possesso delle isole ancora inesplorate, allacciò invece contatti con le popolazioni indigene prima di approdare alle coste della California di cui decantò la ricchezza. Nel gennaio del 1787 le due navi approdarono a Macao. Vennero esplorati e tracciati in modo sistematico sia il Mar della Cina sia il Mar del Giappone, fino a quel momento poco noti, parimenti fu esplorata la penisola siberiana della Kamčatka, di interesse commerciale per via della ricchezza di pelli. Dopo l'esplorazione di Sachalin e delle Curili le due navi si diressero verso meridione. Il 1º dicembre 1787, a Samoa, fu ucciso dalla popolazione locale Fleuriot de Langle, scienziato, secondo in comando e grande amico La Pérouse. La tappa successiva fu l'Australia dove i britannici avevano appena fondato la città di Sydney, nel febbraio 1788 La Pérouse inviò un dispaccio con la sua rotta successiva, Tonga, la Nuova Caledonia, le Isole Salomone e infine la Nuova Guinea. Le due navi e gli equipaggi sparirono però misteriosamente. Si ipotizzò che fossero finiti in una tempesta tropicale. In patria i progressi della spedizione erano seguiti con attenzione e nonostante l'inizio della rivoluzione francese furono attrezzate due navi per la ricerca degli scomparsi. L'azione di ricerca non si concluse felicemente: i due comandanti, Entrecasteaux e Kermadec, perirono durante la navigazione e le due navi di soccorso rientrarono in Francia senza alcuna notizia sulle navi scomparse. Dovettero passare trent'anni prima che Jules Dumont d'Urville, la cui nave era stata chiamata Astrolabe in memoria della scomparsa nave di La Pérouse, ritrovasse i resti delle due navi presso l'isola di Vanikoro, nelle Salomone. La popolazione indigena dell'isola era ancora in possesso di diversi effetti personali degli equipaggi delle navi. Opera: Voyage autour du monde sur l'Astrolabe et la Boussole.
François–Étienne de La Roche (ou Delaroche) est un médecin et un naturaliste suisse, né en 1743 à Genève et mort en 1812 à Paris. Il commence ses études de médecine à Genève et les achève à Édimbourg où il se lie d'amitié avec son compatriote Louis Odier (1748–1817). Après avoir obtenu son titre de docteur à Genève, il s'y installe et y exerce durant quelques années. Il part à Paris où il devient le médecin du duc d'Orléans avant d'obtenir la place de médecin à la maison de santé du faubourg Saint–Martin. Il est en relation avec Auguste Duméril (1812–1870) et épouse sa fille. Outre des publications de médecine, on lui doit des travaux sur les poissons dont les Observations sur des poissons recueillis dans un voyage aux îles Baléares (1809), Observations sur quelques poissons indiqués dans le précédent tableau et descriptions des espèces nouvelles ou peu connues (1809) et Observations sur la vessie aérienne des poissons.
Jean–Baptiste Labat appelé plus communément Père Labat (Paris, France, 1663 – Paris, France, 1738) était un missionnaire dominicain, botaniste, explorateur, ethnographe, militaire, propriétaire terrien, ingénieur et écrivain. Ordonné prêtre à Paris en 1685, il poursuit des études scientifiques à Nancy. En 1693, il est volontaire et part comme missionnaire avec l'autorisation des responsables de l'ordre des dominicains aux Antilles. Le 29 janvier 1694, il débarque en Martinique. Il rejoint ses pères à la paroisse de Macouba, où il travaille pendant deux ans à développer la paroisse et construit de nombreux édifices. En 1696, il voyage en Guadeloupe et en Dominique puis est nommé procureur syndic des îles d'Amérique à son retour en Martinique. Il a visité les Antilles françaises, néerlandaises et anglaises de Grenade à Hispaniola. Le père Labat a décrit de nombreux aspects de la société caribéenne dont l'esclavage. Il était lui–même un fervent défenseur de l'esclavage et possédait des esclaves. Il a inclus dans ces récits en 1698, ses impressions en observant les esclaves martiniquais et leurs passions pour la danse. Il est également le témoin privilégié d'un autre aspect de cette société, la flibuste, pour laquelle ses écrits sont des sources primaires d'une grande importance. Il a fondé l'exploitation sucrière de Fonds–Saint–Jacques à Sainte–Marie en Martinique, et fondé les paroisses de Le Robert et Le François (appelées cul–de–sac Robert et cul–de–sac François dans Nouveau Voyage aux Isles Françoises de l'Amérique). Il a aidé à développer et moderniser l'industrie de la canne à sucre dans les Antilles françaises. Il a assisté le botaniste Charles Plumier dans son travail quand celui–ci était aux Antilles même s'il jugeait la mission que lui a confié Louis XIV plus qu'inutile. Il a fortifié et préparé la défense de la Guadeloupe puis pris part au combat lors de l'attaque britannique de l'île en 1704. Il a été nommé vice–préfet apostolique la même année. En 1706, il rentre en Europe et est nommé en Italie ou il entreprend la rédaction du célèbre Nouveau Voyage aux isles Françoises de l'Amérique à partir des notes journalières qu'il avait prises toutes ces années durant. Le père Labat a tenté d'organiser son retour aux Amériques mais n'obtint jamais l'autorisation de sa hiérarchie. Il voyagea à Paris en 1716 et vécut dans le couvent de la rue Saint–Honoré jusqu'à sa mort. Pendant ces années, il publie finalement Nouveau Voyage aux Isles Françoises de l'Amérique en 6 volumes à Paris en 1722, avec de nombreuses illustrations qu'il réalisa lui–même. Cette œuvre fut traduite en néerlandais (1725) et en allemand (1783). Il a ensuite travaillé de manière similaire sur d'autres pays à partir de notes d'autres missionnaires. Alors qu'il ne s'est jamais rendu en Afrique lui–même, il s'est en particulier largement inspiré des mémoires d'André Brue rédigées vers 1725 pour élaborer sa Nouvelle relation de l'Afrique occidentale (1728), un récit dont la fiabilité a fait l'objet de polémiques. Il aurait élaboré aux Antilles, pour soigner une fièvre, une eau de vie (guildive sucrée) qui suite à quelques évolutions est aujourd'hui devenue le rhum (Sur l'île de Marie–Galante, une distillerie artisanale produit d'ailleurs un rhum qui porte son nom). Aujourd'hui encore, en créole martiniquais le terme pèrlaba qualifie un esprit malin.
Werner de Lachenal: nascita 23.10.1736 (Wernhard) Basilea, morte 4.10.1800 Basilea, rif., di Basilea. Figlio di Jakob, farmacista, medico, botanico e anatomista, e di Maria Margaretha Gottfried. ∞ (1763) Margaretha Passavant, figlia di un maestro a capo delle corporazioni. Dopo aver interrotto una formazione quale farmacista, ottenne il titolo di magister in filosofia (1755) e studiò medicina a Basilea, Strasburgo e Montbéliard, conseguendo il dottorato a Basilea (1763). Lavorò come medico a Basilea, dove fu anche professore di anatomia e botanica (1776–98). Promosse la ristrutturazione del giardino botanico, l'ampliamento della biblioteca botanica e dell'erbario, il rinnovo della sala di dissezione e ottenne maggiori fondi per l'insegnamento dell'anatomia. Brevi saggi di botanica di Lachenal sono contenuti negli Acta helvetica e nelle lettere indirizzate ad Albrecht von Haller. Fu in rapporto epistolare anche con altri studiosi svizzeri e stranieri. – Lachenal – Werner de Lachenal: naissance 23.10.1736 (Wernhard) à Bâle, décès 4.10.1800 à Bâle, prot., de Bâle. Fils de Jakob, apothicaire, médecin, botaniste et anatomiste, et de Maria Margaretha Gottfried. ∞ 1763 Margaretha Passavant, fille d'un premier prévôt des corporations. Formation d'apothicaire (interrompue), maître en philosophie (1755), études de médecine à Bâle, Strasbourg et Montbéliard, doctorat à Bâle en 1763. Médecin à Bâle. Professeur d'anatomie et de botanique (1776–1798), Lachenal réorganisa le jardin botanique, développa la bibliothèque botanique et l'herbier, fit rénover la salle de dissection et rétablit les finances de la chaire d'anatomie. Auteur de notices botaniques publiées dans les Acta helvetica ou transmises à Albert de Haller, l'un des nombreux savants suisses et étrangers avec lesquels il correspondait.
Magnus Lagerström est un homme d'affaires, écrivain et traducteur suédois, né à Stettin (en Poméranie, alors sous contrôle suédois), le 16 décembre 1691, et mort à Göteborg, le 5 juillet 1759. Après avoir rejoint la Compagnie suédoise des Indes orientales en 1738, il en devient l'un des directeurs en 1746. Il profite des fonctions qu'il occupe au sein de cette entreprise commerciale pour constituer de riches collections en provenance des Indes orientales et de Chine, notamment en ethnographie et en histoire naturelle, et en fait don à la famille royale suédoise et au naturaliste Carl von Linné (1707–1778). Ce dernier lui a d'ailleurs rendu hommage en lui dédiant le genre botanique Lagerstroemia de la famille des Lythracées. Comme écrivain, Magnus Lagerström est notamment l'auteur d'ouvrages consacrés à la Bible et au commerce avec les Indes orientales. Il a également traduit Molière, John Bunyan et Ludvig Holberg en suédois.
Philippe de La Hire (18 marzo 1640 – 21 aprile 1718) è stato un matematico, astronomo e pittore francese. È indicato anche come Philippe Lahire o Phillipe de La Hire. Nasce a Parigi, figlio di Laurent de La Hyre, noto pittore. Nel 1660 si reca a Roma e successivamente a Venezia per studiare pittura e per cercare un clima migliore per la sua debole salute. A Venezia studia prospettiva e questo lo conduce ad appassionarsi di Geometria. Al suo ritorno a Parigi nel 1664 esercita la pittura ma si occupa sempre di più di argomenti scientifici e rivela grande attitudine per la matematica. Egli viene influenzato soprattutto da Girard Desargues, che aveva conosciuto come frequentatore della sua casa fin dall'infanzia. Desargues lo induce a occuparsi di geometria proiettiva, ed egli, quindi, rimane lontano dagli importanti sviluppi che in quel tempo aveva l'analisi infinitesimale. Nel 1678 diventa membro della Académie des Sciences e successivamente si occupa di astronomia e compila tavole dei movimenti del Sole, della Luna e dei pianeti. A partire dal periodo 1679–1682 compie numerose osservazioni e misurazioni della linea costiera della Francia e nel 1683 contribuisce alla mappatura del territorio francese estendendo il meridiano di Parigi verso nord. Nel 1683 La Hire assume la cattedra di matematica del Collège Royale. Dal 1687 fino alla fine dei suoi giorni insegna alla Académie d'architecture. Bernard le Bovier de Fontenelle lo giudicava una "accademia fatta persona".
Aylmer Bourke Lambert (February 2, 1761 – January 10, 1842) was a British botanist, one of the first fellows of the Linnean Society. He is best known for his work A description of the genus Pinus, issued in several parts 1803–1824, a sumptuously illustrated folio volume detailing all of the conifers then known. A second folio edition was produced between 1828–1837, and a third, smaller (octavo) edition in 1832. Individual books even of the same edition are often very different from one another, which causes problems when the illustrations have been used as types to fix the application of names. A full description of the publication history is given in: Renkema, H. W. & Ardagh, J. (1930). Aylmer Bourke Lambert and his 'Description of the Genus Pinus'. Journal of the Linnean Society of London – Botany 48: 439–466. Many of the new conifers discovered by David Douglas and others, including the Coast Redwood, were described for the first time in Lambert's books; several of these were actually described by collaborating authors, notably David Don, who included their work in Lambert's book. The standard botanical author abbreviation Lamb. is applied to species he described. Lambert is honoured in the botanical name of the Sugar Pine Pinus lambertiana, and the name of the genus Lambertia.
Louis–Mathieu Langlès, né à Welles–Pérennes (Oise) le 23 août 1763 et mort à Paris le 28 janvier 1824, est un orientaliste et bibliothécaire français. D'abord officier du point d'honneur, il est le fondateur et le premier directeur de l'École spéciale des langues orientales, où il enseigne le persan, et conservateur des manuscrits orientaux à la Bibliothèque impériale. Il est élu membre de l'Institut national des sciences et des arts en 1795. Dictionnaire tartare–mantchou françois composé d'après un dictionnaire mantchou–chinois, rédigé et publié avec des additions par L. Langlés (1789).
Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse est un naturaliste français, né le 20 octobre 1744 à Toulouse et mort le 18 octobre 1818 au château de Lapeyrouse (Haute–Garonne). Son père, Jacques Picot de Buissaison de Lapeyrouse (1709–1781) est noble, mais d'une famille de négociants, seigneur de Buissaison, de Lapeyrouse, et de Belloc. Il est capitoul de Toulouse et avocat aux requêtes près le Parlement de Toulouse de 1769 à 1777. Aîné de sept enfants, quatre de ses frères optent pour la carrière militaire. Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse est le frère du baron Étienne Guillaume Picot de Bazus général de division et du baron Jean Baptiste Picot de Buissaizon, chef de bataillon des Gardes suisses (France) au château de Versailles, chevalier de l'Ordre royal et militaire de Saint–Louis, beau–frère d'Agathe de Rambaud. Philippe opte d'abord pour une carrière dans la magistrature et obtient en 1768 une charge d'avocat général près la chambre des eaux et forêts du parlement de Toulouse. Un de ses oncles, baron de Lapeyrouse, meurt en 1775 et lui lègue sa fortune et son titre. Il se marie le 15 septembre 1772 avec Magdelaine de Sacaze de Saint Beat, appartenant à une famille de robe, et très bien dotée. N'ayant plus de soucis d'ordre pécuniaire, ayant démissionné de son poste, car il refusait la réforme de l'administration de René Nicolas de Maupeou (1714–1792) en 1771, il peut se consacrer dès lors à sa véritable passion: l'histoire naturelle. Sa fortune est importante. Il fait en 1793 le dénombrement de ses fiefs nobles et, en 1778, devant les capitouls de Toulouse. Pendant la Révolution française, il doit payer 1.600 francs pour l'impôt sur les riches. Il figure parmi les 40 plus riches citoyens de la Haute–Garonne. Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse passe la plupart de son temps à voyager et étudier. Il fait paraître en 1781 sa Description de plusieurs nouvelles espèces d'orthocératites et d’ostracites (Erlangen) qui est consacrée à des coquilles fossiles. Il fait paraître aussi dans les Mémoires de l'Académie de Toulouse diverses communications sur la faune, la flore et les minéraux des Pyrénées. Ses observations ornithologiques sont reprises dans le Dictionnaire des oiseaux, publiée dans le cadre de l'Encyclopédie méthodique. En 1786, il fait paraître un Traité des mines et forges à fer du comté de Foix. Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse est correspondant de l'Académie des sciences. En 1789, il est déjà un naturaliste et minéralogiste connu, membre des Académies des sciences de Stockholm et de Toulouse. Il est chargé de la rédaction des cahiers de doléances de l'ordre de la noblesse de la sénéchaussée de Toulouse. Il est très ouvert aux idées nouvelles. Il est l'auteur en 1789 de De l'administration diocésaine en Languedoc, pour servir d'instruction aux députés de cette province aux États–Généraux. Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse est nommé en 1790 président de l'administration du district de Toulouse. En 1806, il est élu mainteneur de l'Académie des Jeux floraux. Il est également garde national et publie la Réclamation de Philippe Picot, président du district de Toulouse. Mais bien qu’il ait renoncé à toute fonction politique dès 1792, il est arrêté et passe dix–huit mois en prison comme « partisan du fédéralisme et président d'une section fédéraliste ». Libéré après la chute de Robespierre, il reprend ses recherches et devient inspecteur des mines, puis successivement professeur d'histoire naturelle à l'école centrale de Toulouse, à l'école des mines de Paris, et en 1811 à la faculté des sciences de Toulouse, la même année doyen de cette faculté. En 1800, il est nommé maire de Toulouse, fonction qu'il conserve jusqu'en 1806, et il devient le premier président du conseil général de Haute–Garonne. Il est fait baron d'Empire le 1er mars 1808 et chevalier de la légion d'honneur. Il accomplit une œuvre importante en tant que maire. Son ami Louis Ramond de Carbonnières (1755–1827), spécialiste en botanique et géologie des Pyrénées centrales, décide en 1797 de mener à bien un projet qui l’habitait depuis longtemps: atteindre le sommet du Mont Perdu (3.355 mètres) pour trancher la controverse qui l'opposait à Déodat Gratet de Dolomieu (1750–1801) et Lapeyrouse sur l' « âge primitif » des calcaires de la chaîne centrale. L’expédition comprend une quinzaine de personnes, dont Picot de Lapeyrouse et plusieurs de ses élèves. Elle trouve de nombreux fossiles mais n’atteint pas le sommet. Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse doit renoncer, car il est affaibli par sa longue détention. Le récit de l'ascension paraît en 1797 sous le titre Voyage au Mont–Perdu et dans la partie adjacente des Hautes–Pyrénées. C’est pour ses cours que Lapeyrouse fait paraître en 1799 ses Tables méthodiques des mammifères et des oiseaux observés dans le département de la Haute–Garonne. Lapeyrouse projette de faire paraître une flore des Pyrénées, mais il ne peut faire éditer qu'une Monographie des saxifrages (1801). C’est une version abrégée qu'il publie en 1813 sous le titre Histoire abrégée des plantes des Pyrénées et Itinéraire des botanistes dans ces montagnes. Après le rétablissement, en 1807, de l'Académie de Toulouse, supprimée en 1792, il en devient le secrétaire perpétuel. En minéralogie il décrit une espèce, qu'il croit, nouvelle à partir d'échantillon du pic d'Eredliz, et la baptise koupholite inspiré des deux racines grecques: pierre légère. Cette espèce n'est en fait qu'une variété d'habitus de la prehnite en lamelles rhomboïdales. Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse est à l’origine de la création du Muséum d'histoire naturelle de Toulouse. Après le retour des Bourbons, Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse, l'ancien maire de Toulouse, député pendant les Cent–jours attend 1816 pour se remontrer à Toulouse. Ce savant emprisonné par les révolutionnaires, n'a pas envie d'être tué par les Verdets ou jeté en prison. Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse est un franc–maçon actif et un ami d'Alexandre Du Mège (1780–1862). Très influencé par Jean–Jacques Rousseau, il fonde tout d'abord la loge Les amis du désert, puis de 1814 à 1818 il est vénérable de la grande loge provinciale de Toulouse. Il décède le 18 octobre 1818 en son château de Lapeyrouse (Haute–Garonne), où il faisait des recherches agronomiques et où il introduisit le mouton mérinos. Les Philippe–Isidore Picot de Lapeyrouse se partagent 566.124 francs, 365 hectares de terres, un château, une belle maison. Une part importante de sa bibliothèque se trouve désormais dans les bibliothèques de Toulouse. Son fils Isidore Picot de Lapeyrouse né en 1776 et décédé en 1835 lui succède à la chaire d'histoire naturelle de la faculté des sciences de Toulouse en 1818.
Manuel Miguel de Lardizábal y Uribe (1744–1820) was a Mexican penologist who was an academician of the Real Academia Española de la Lengua from 1775 to 1820. He seems to have been the successor to chair C of his father in law, Academician from 1746 to 1775 Francisco Antonio de Angulo. King Charles III of Spain tried in 1764 to bring back a law of 1734 by his father King Philip V of Spain whereby even thieves operating in Madrid could be tried and executed even if there were no assassinations involved in the thieving. The royal council pointed out to him that either victims or witnesses would default collaboration with Justice by the general popular feeling that the punishment could be disproportionate with people robbing only money, jewels, etc. while saving the lives of the persons being robbed. The King was thus obliged to keep his ideas on public order to himself and/or educated listeners. Further, lawyer Acevedo published in 1770 a dissertation against torture, as being in conflict with Nature Rights and public decency within the Social Body. The lawyer politician from Zaragoza Manuel de Roda y Arrieta managed to get Charles III and his Royal Council deliberating around changes into the Penal Legislation, whereby capital punishment and/or extensive terms rotting in prisons could better be modified to convicts performing useful works needed by the public interest. These moves, prior to 1776, where the king and his royal council echoed letters of intent dated 1776 through reflections on the significant works by Beccaria, brought about the publication in 1782 by Manuel de Lardizábal of his Discurso sobre las penas contrahido a las leyes criminales de España para facilitar su reforma. He cites Frenchman Montesquieu, Guillaume–François Le Trosne, with his Réflexions sur la réforme de la legislation universelle, the German Samuel von Pufendorf, the Dutch Hugo Grotius, the Italian Cesare Beccaria, and the reflections on the degradation applying torture of the Frenchman Joseph Michel Antoine Servan.
Lavradio Marquês
António de Almeida Soares Portugal (Bahia, Brasil, em 4 de novembro de 1699 – 1760 ou 1761 Bahia) foi o 1º Marquês do Lavradio, 1º Conde do título e 4º Conde de Avintes. Foi o 8º vice–rei do Brasil, de 1749 a 1753, 38º Governador de Angola. Foi capitão e depois coronel de infantaria do Regimento de Elvas. Igualmente Coronel do regimento de infantaria da corte.
Erik Gustavovich Laxmann (July 27, 1737 – January 6, 1796) was a Finnish–Swedish clergyman, explorer and natural scientist born in Nyslott in Finland, then part of Sweden. He is remembered today for his taxonomic work on the fauna of Siberia and for his attempts to establish relations between Imperial Russia and Tokugawa Japan. In 1757, Laxmann started his studies at the Academy of Åbo and was subsequently ordained a priest in St. Petersburg, the capital of Russia. In 1764, he was appointed as a preacher in a small parish in Barnaul in central Siberia, whence he undertook a number of exploratory journeys, reaching Irkutsk, Baikal, Kiakhta and the border to China. His collection of material on the fauna of Siberia made him famous in scientific circles and in 1770, he was appointed professor of chemistry and economy at the Russian Academy of Sciences. In 1769, Laxmann was elected a foreign member of the Royal Swedish Academy of Sciences. The standard author abbreviation Laxm. is used to indicate this individual as the author when citing a botanical name.
Louis Guillaume Le Monnier, talora scritto Lemonnier, (Parigi, 27 giugno 1717 – Versailles, 7 settembre 1799) è stato un naturalista, fisico e medico francese. Nato a Parigi, figlio di Pierre Lemonnier e fratello minore di Pierre Charles Le Monnier il celebre astronomo, Louis Guillaume fu un uomo di scienza dalle vaste conoscenze e attività. Spaziò infatti dalla geologia alla botanica, dalla fisica (elettrologia) alla mineralogia, pur essendo sostanzialmente un medico. Nel 1739 accompagnò la spedizione di César François Cassini de Tury e Nicolas Louis de Lacaille per percorrere il meridiano di Parigi, e lungo il tragitto raccolse dati mineralogici, minerari, geologici e botanici. Nello stesso anno lavorò presso l'Ospedale "Saint Germain en Laye" come fisico. Fece infatti ricerche sui fenomeni elettrici, inviando una corrente da una Bottiglia di Leida attraverso un cavo lungo circa 1850 m e concludendo che l'elettricità si propagava "istantaneamente" nel cavo. Più tardi le sue ricerche si spostarono all'esterno, per osservare i fenomeni elettrici nelle condizioni temporalesche e in quelle di tempo buono. Come suo padre e suo fratello divenne membro dell'"Accademia delle Scienze di Francia" il 3 luglio 1743, come botanico aggiunto, e fu ammesso alla Royal Society il 7 febbraio 1745. Un anno dopo, anche lui fu accolto nell'"Accademia prussiana delle Scienze". Assieme a Claude Richard fu tra i primi che organizzarono la collezione botanica di Luigi XV al Petit Trianon, una iniziativa rapidamente messa in atto da Bernard de Jussien. Nel 1759 fu nominato professore di botanica al Jardin du roi (divenuto poi Jardin des Plantes), incarico lasciato vacante l'anno prima dalla morte del fratello di Jussien. Nel 1770 divenne "Primo medico ordinario" e nel 1788 "Primo medico del Re". Negli anni, dunque, fu il medico personale sia di Luigi XV che di Luigi XVI. Nel 1786 succedette a René Loniche Desfontaines come professore di botanica al Collegio di Francia, dove curò la formazione ed inviò in missione esplorativa numerosi botanici, fra cui André Michaux. Nel medesimo anno partecipò alla piantagione dei primi Pini silvestri sul massiccio di Fontainebleau. Scrisse anche numerose voci dell'Enciclopedia di Diderot, fra cui: "Elettricità", "Magnete", "Magnetismo", "Ago magnetico" e varie altre. Dopo il 1759, tuttavia, smise di scrivere. Sua amante fu Marie Louise de Rohan (detta Madame de Marsan), futura istitutrice dei figli del re, e quindi di Luigi XVI. Pubblicazioni principali: Leçons de physique expérimentale sur l'équilibre des liqueurs et sur la nature et les propriétés de l'air, traduites de l'anglais de M.R. Cotes. 1742. – Observations d'histoire naturelle faites dans les provinces méridionales da la France pendant l'année 1739. 1740. – Recherches sur la Communication de l'Eléctricité. 1746. – Observations sur l'Eléctricité de l'Air. 1752.
Dom Louis Le Pelletier (1663, Le Mans – 1733, Landévennec) est un linguiste breton. Il devient religieux à Saumur et suit la règle de Benoît de Nursie, se fait remarquer par son aptitude pour l’étude des langues et mit à profit son séjour dans l’abbaye Saint–Mathieu de Fine–Terre pour s’appliquer à bien connaître la langue bretonne (le breton). Publication: Dictionnaire de la Langue Bretonne, où l’on voit son Antiquité, son Affinité avec les anciennes langues, l’Explication de plusieurs passages de l’Ecriture Sainte, et des Auteurs profanes, avec l’Etymologie de plusieurs mots des autres langues. Chez François Delaguette, Paris, écrit en 1716, publié en 1752. Ce dictionnaire fut publié sous les auspices et aux frais des États de Bretagne. Il consacre 25 années à la composition de son dictionnaire, fruit de recherches immenses, auquel coopéra Roussel de Léon, qu’il appelait son oracle. Il compare les mots armoricains à ceux du pays de Galles en utilisant le Dictionnaire de Davies. Pour l’étymologie, il cite les mots hébreux et grecs.
André Pierre Ledru, né à Chantenay, dans le Maine, le 22 janvier 1761, était un général et historien français. Il entra fort jeune dans l'état ecclésiastique. Il était vicaire au commencement de la Révolution française, et, comme beaucoup d'autres dans la même position, il en adopta les principes, persuadé qu'elle lui fournirait les moyens de s'élever. C'est dans cette vue, sans doute, qu'il prêta serment à la constitution civile du clergé en 1791. Il fut en effet nommé, la même année, curé de la paroisse du Pré, au Mans. Lors de l'abolition absolue de toute religion, en 1793, Ledru se retira au sein de sa famille; mais la guerre civile, qui désolait le département de la Sarthe, et surtout la haine du parti royaliste pour tous les prêtres assermentés, mettant sa vie en danger, il se réfugia à Paris, et obtint du directoire d'être associé, comme botaniste, à l'expédition du capitaine Nicolas Baudin aux îles Canaries et aux Antilles. Il soutint les fatigues de ce long voyage, et ne cessa de prendre des notes utiles. Lors de son retour en France en 1798, il fut nommé professeur de législation à l'école centrale de la Sarthe, et joignit à l'enseignement de cette science celui de la physique, dont la chaire était vacante. Il participa à la campagne d'Égypte, de Prusse où il fut blessé lors de la bataille d'Iéna (1806), à la campagne de Russie comme général de la grande armée avec le Maréchal Ney(1812, 1813) (G. Bertin, La campagne de 1812, de 1813, d'après les témoins oculaires, 1825, Comte de Ségur, Histoire de Napoléon et de la grande armée pendant l'année 1812). À l'époque de la restauration, il vint à Paris en 1816. Ses efforts furent sans succès, malgré l'espèce de faveur dont jouissait son frère, le général François Roch Ledru des Essarts, qui y était alors commandant de la division. Retourné au Mans, Ledru y vécut dans la retraite, ne s'occupant plus que d'objets scientifiques, littéraires et historiques, et il mourut dans cette ville vers 1830. L'herbier qu'il a constitué pendant ses voyages aux îles et une partie de objets apportés des fouilles françaises en Égypte se trouvent au musée de l'Évêché du Mans (Dictionnaire topographique, historique et statistique de la Sarthe, JR Pesche tome 3 p.587–591). Il était membre de la société royale des arts du Mans, de celle des antiquaires de France, du musée de Tours et de la société littéraire de Nantes. Augustin Pyrame de Candolle lui a dédié un nouveau genre, de la famille des ombellifères, sous le nom de Drusa (Annales du muséum, t. 10). Ledru fut aussi un des collaborateurs de la Biographie universelle, à laquelle il a fourni, entre autres articles, ceux de François Véron de Forbonnais, Jean–Louis de Fromentières, Robert Garnier, Geoffroy le Bel, etc.
Johann Daniel Leers (* 1727–1774) fue un botánico, micólogo, briólogo, algólogo alemán. 1775. Flora Herbornensis: Exhibens Plantas Circa Herbornam Nassoviorum Crescentes. Ed. Kessinger Publish. 422 pp. ISBN 1–104–82170–2. La abreviatura Leers se emplea para indicar a Johann Daniel Leers como autoridad en la descripción y clasificación científica de los vegetales.
Nicolas Lémery (November 17, 1645 – June 19, 1715), French chemist, was born at Rouen. He was one of the first to develop theories on acid–base chemistry. After learning pharmacy in his native town he became a pupil of Christophe Glaser in Paris, and then went to Montpellier, where he began to lecture on chemistry. He next established a pharmacy in Paris, still continuing his lectures, but following 1683, being a Calvinist, he was obliged to retire to England. In the following year he returned to France, and turning Catholic in 1686 was able to reopen his shop and resume his lectures. He died in Paris on the 19th of June 1715. Lémery did not concern himself much with theoretical speculations, but holding chemistry to be a demonstrative science, confined himself to the straightforward exposition of facts and experiments. In consequence, his lecture–room was thronged with people of all sorts, anxious to hear a man who shunned the barren obscurities of the alchemists, and did not regard the quest of the philosopher's stone and the elixir of life as the sole end of his science. Of his Cours de chymie (1675) he lived to see 13 editions, and for a century it maintained its reputation as a standard work. In 1680, using the corpuscular theory as a basis, Lémery stipulated that the acidity of any substance consisted in its pointed particles, while alkalis were endowed with pores of various sizes. A molecule, according to this view, consisted of corpuscles united through a geometric locking of points and pores. His other publications included Pharmacopée universelle (1697), Traité universel des drogues simples (1698), Traité de l'antimoine (1707), together with a number of papers contributed to the French Academy, one of which offered a chemical and physical explanation of underground fires, earthquakes, lightning and thunder. He discovered that heat is evolved when iron filings and sulphur are rubbed together to a paste with water, and the artificial volcan de Lémery was produced by burying underground a considerable quantity of this mixture, which he regarded as a potent agent in the causation of volcanic action. His son Louis Lémery (1677–1743) was appointed physician at the Hôtel–Dieu de Paris in 1710, and became demonstrator of chemistry at the Jardin du Roi in 1731. He was the author of a Traité des aliments (1702), and of a Dissertation sur la nature des os (1704), as well as of a number of papers on chemical topics.
Hortense Lepaute or Nicole–Reine Lepaute (née Étable; 5 January 1723 – 6 December 1788) was a French astronomer and mathematician. She predicted the return of Halley's Comet, calculated the timing of a solar eclipse and constructed a group of catalogs for the stars. She was a member of the Scientific Academy of Beziéres. Nicole–Reine Lepaute, also known as Hortense Lepaute, was born in the Luxembourg Palace in Paris as the daughter of Jean Étable, valet in the service of Louise Élisabeth d'Orléans. In 1749, she married Jean André Lepaute, who was a royal clockmaker. Nicole Lepaute constructed a clock with an astronomical function together with her spouse. The clock was constructed on her suggestion, and she also participated in its construction. The clock was presented to the French Academy of Science in 1753, were it was inspected and approved by Jérôme Lalande. Lepaute was a member of the French Academy of Science. Jérôme Lalande recommended her along with the mathematician Alexis Clairault to calculate the predicted return of Halley's Comet, as well as to calculate the attraction of Jupiter and Saturn of the Halley's comet. In November 1758, the team presented their conclusion that the comet was to arrive on 13 April 1759. They were almost correct, as the comet arrived on 13 March 1759. Clairault did not recognize her work at all in his work, which upset Lalande. Jérôme Lalande acknowledged her help in an article. In 1759, she was again a part of Jérôme Lalande's team and worked with him to calculate the ephemeris of the Transit of Venus. It is not documented what should be contributed to her personally, but in 1761, she was acknowledged by being inducted as an honorary member of the distinguished Scientific Academy of Beziéres. In 1762, Lepaute calculated the exact time of a coming solar eclipse in 1 April 1764. She wrote an article in which she gave a map of the eclipse's extent in 15–minute intervals across Europe. The article was published in Connaissance des temps (Knowledge of the times). Lepaute also created a group of catalogs of the stars which were useful for the future of astronomy. She calculated the Ephemeris of the Sun, the Moon and the Planets for the years 1774–1784. Nicole Lepaute took care of her terminally ill husband from 1767 until his death in 1774, after which her own health was also severely damaged. She adopted her husband's nephew, Joseph Lepaute Dagelet, future member of the French Academy of Science, in 1768. The asteroid 7720 Lepaute is named in her honour, as is the lunar crater Lepaute.
Nathanael Gottfried Leske (22 October 1751 in Muskau – 25 November 1786 in Marburg) was a German natural scientist and geologist. After his studies at Bergakademie of Freiberg in Saxony and the Franckeschen Stiftungen in Halle, Leske became a special professor of natural history at the University of Leipzig in 1775. From 1777–1786 he taught economics at this university, and in 1786 he was called to the chair of financial science and economics at the University of Marburg. However, he had a fatal accident on his way to Marburg. Throughout his life Leske corresponded with his teacher and close friend of Abraham Gottlob Werner, famous geologist and mineralogist at Weimar. He also edited the Leipziger Magazin zur Naturkunde, Mathematik und Oekonomie (1781–1789) with Christlieb Benedict Funk and Carl Friedrich Hindenburg. Leske possessed an extensive mineral and natural history collection called the Leskean Cabinet, which was arranged after his death by Dietrich Ludwig Gustav Karsten de:Dietrich Ludwig Gustav Karsten and later, in 1792, sold to the Dublin Society. The collection included other natural history specimens many from the collections of Johann Friedrich Gmelin and Johan Christian Fabricius. These specimens are now in the National Museum of Ireland. Works: with Jacob Theodor Klein Additamenta ad Jacob Theodor Klein Naturalem dispositionem echinodermatum et lucubratiunculam de aculeis echinorum marinorum Lipsiae Ex Officina Gleditschiana,1778. BHL – Anfangsgrunde der Naturgeschichte. Zwote [sic] verbesserte und viel vermehrte Ausgabe. Leipzig: Siegfried Lebrecht Crusius, 1784. – Reise durch Sachsen in Rüksicht der Naturgeschichte und Ökonomie unternommen und beschrieben. Leipzig: J.G. Müllersche Buchhandlung, 1785 – Ichthyologiae Lipsiensis specimen. Lipsiae: Siegfrief Lebrecht Crusius, 1774 – Museum N. G. Leskeanum. Pars entomologica ad systema entomologiae Cl. Fabricii orkinata... Lipsia: J.G. Müllersche Buchhandlung, 1788.
Dr. John Coakley Lettsome (1744–1815) was an English physician and philanthropist born on Little Jost Van Dyke in the British Virgin Islands. He was born into one of the early Quaker settlements in the territory, and grew up to be an abolitionist. His surname is sometimes spelled Lettsom, particularly during the period of his life during which he resided in the British Virgin Islands. Dr. Lettsome founded the Medical Society of London in 1773, convinced that a combined membership of physicians, surgeons, and apothecaries would prove productive. His revolutionary idea met with success and the Society has provided a forum for all branches of the medical profession from its inception to the present. Situated at the heart of London's medical community at Lettsome House, Chandos Street, near Cavendish Square, this is the oldest medical society in the United Kingdom. As founder, president (1775–76, 1784–85, 1808–11, 1813–15), and benefactor Lettsome was the mainstay of the Society from 1773 until his death in 1815. John Coakley Lettsome was born into the Quaker community on the island of Little Jost Van Dyke in the British Virgin Islands, in 1744. John and his brother were the sole survivors of seven sets of male twins, sons of Edward and Mary Lettsome. John alone was sent to England at the age of six to be educated; perhaps he was the strongest twin, he certainly proved to be resilient. At school in Lancashire the antics of the young Lettsome attracted the attention of the Quaker preacher Samuel Fothergill, who introduced his protégé to his brother, the London physician, Dr John Fothergill. Having completed an apprenticeship to a Yorkshire apothecary, Lettsome came to London in 1766 when, through the influence of Dr Fothergill, he commenced his medical training at St Thomas' Hospital. His studies were interrupted by the death of his father, prompting his return to Tortola in the British Virgin Islands where he freed the slaves he had inherited and provided medical care for the local population. As the only doctor in the islands at that time, he was able to earn a considerable sum. Diligence and industry earned him a fortune, enabling him to resume his studies in Europe and culminating in the submission of his MD thesis on the natural history of the tea–tree to Leyden University in 1769. Lettsome was also a close friend of two other enormously influential North Americans, Benjamin Franklin and William Thornton. Lettsome's career accelerated with the LRCP and marriage to an heiress. By the age of 30 his reputation as a physician, author, and Fellow of the Royal Society was established. Furthermore, he had founded the General Dispensary in Aldersgate Street and the Medical Society of London. He was a founder–member of the Royal Humane Society in 1774, he initiated the Sea–bathing Infirmary at Margate (1791), became a pillar of the Royal Jennerian Society (for vaccination) and gave his support to the Society for the Relief of Widows and Orphans of Medical Men, the Society for the Relief of Debtors, and the Philanthropic Society (for homeless children). Numerous clubs, societies, hospitals, dispensaries, and charitable institutions in the United Kingdom and North America benefited from Lettsome's patronage, while from his pen there flowed a stream of "Hints", pamphlets, diatribes, and letters promoting Sunday schools, female industry, provision for the blind, a bee society, soup kitchens and the mangel–wurzel, and condemning quackery, card parties, and intemperance. In the diversity of his interests, as physician, philanthropist, botanist, mineralogist and collector, Lettsome was in the mould of that giant of the previous generation of London physicians, Sir Hans Sloane. As founder, President (1775–76, 1784–85, 1808–11, 1813–15), and benefactor, Lettsome was the mainstay of the Society from 1773 until his death in 1815. His influence remained strong and his example inspired the next generation of Fellows—men such as Dr Thomas Pettigrew, his biographer, and Dr Henry Clutterbuck, who followed in Lettsome's footsteps as President of the Society and physician to the General Dispensary. For at least a portion of his years working in London, he lived in Newington Green, a village full of English Dissenters clustered around a green and its Unitarian church. There he met the young Mary Wollstonecraft and others intent on social reform.Lettsome was also a noted abolitionist. In 1767 he had returned to the British Virgin Islands after the death of his father, and found himself the owner of a share of his father's slaves, whom he promptly manumitted. Lettsome then set up a medical practice on Tortola, and as the only physician on the island amassed a veritable small fortune of £2,000 in a mere six months, whereupon he gave half to his mother (who had remarried) and returned to London. When his good friend, William Thornton, sought his advice about setting up a colony for freed slaves on the west coast of Africa, Lettsome counseled against it, and suggested that spending the money acquiring and manumitting the slaves in North America would be a better use of funds. However, towards the end of his life, something ironic happened. Lettsome's son, Pickering Lettsome, returned to Tortola to practice law, and there he married a wealthy widow, who had inherited some 1,000 slaves from her grandfather, Benzaliel Hodge. Pickering Lettsome died about a month after the marriage, and his new wife (some 16 years his senior) died two months later, and left all of her property to her father–in–law, John Lettsome. By a twist of fate, shortly before his own death, Lettsome, who had freed all the slaves he had ever owned, found himself as the owner of another 1,000 slaves. However, Lettsome himself died before he had a chance to decide what to do with the slaves, and they were inherited by his grandson. Lettsome was an entomologist. He wrote The naturalist's and traveler's companion, containing instructions for collecting and preserving objects of natural history and for promoting inquiries after human knowledge in general. London: E. and C. Dilly (1774) a much used work.
Friedrich Wilhelm von Leysser (March 7, 1731 – October 10, 1815); (surname sometimes given as Leyser) was a German botanist who was a native of Magdeburg. He also served as counsellor (Kriegsrat and Domänenrat) to the king of Prussia. He was the author of Flora Halensis (Flora of Halle) (1761), and was the first president of Naturforschende Gesellschaft zu Halle. The plant genus Leyssera (Leysera) from the family Asteraceae is named after him. The standard author abbreviation Leyss. is used to indicate this individual as the author when citing a botanical name.
Charles Louis L'Héritier de Brutelle (Parigi 15 giugno 1746 – Parigi 16 agosto 1800) è stato un magistrato e botanico francese. Procuratore del Re presso la Maîtrise des Eaux et Forêts, poi consigliere della Cour des Aides, i suoi lavori botanici, disprezzati dai contemporanei, furono riconosciuti e valorizzati da Willdenow (1765–1812) e De Candolle (1778–1841). Morì assassinato nel 1800, lasciò un erbario di circa 8000 specie e una biblioteca botanica molto importante. Lavorò in particolare sui gerani pubblicando nel 1792 un lavoro intitolato Geraniologia. A lui si deve la distinzione tra i tre generi Geranium, Pelargonium et Erodium. Altre opere: Stirpes novae aut minus cognitae, quas descriptionibus et iconibus illustravit Carolus Ludovicus L'Héritier, Parigi (1784–1785) – Sertum anglicum, 1789–1792.
Erik Gustaf Lidbeck (* 21. Juni 1724 im Kirchspiel Hesselskog, Gemeinde Åmål; † 9. Februar 1803 in Lund) war ein schwedischer Professor für Naturgeschichte und Ökonomie an der Universität Lund. Im Alter von 17 Jahren schrieb sich Lidbeck an der Universität Uppsala ein und wurde schon bald von Linné bemerkt. Dieser nahm ihn 1746 mit auf seine Reise nach Västergötland, auf der Lidbeck für Linné das Tagebuch führen sollte. Zwei Jahre später wurde er auf Linnés Vorschlag hin zum Dozenten für Naturgeschichte und Ökonomie berufen, obwohl er erst 1749 seinen Magister erlangte. Wieder auf Linnés Vorschlag hin wurde er 1750 zum außerplanmäßigen Mediziner in Lund ernannt. Zwei Jahre später, 1752, wurde Lidbeck zum Vorsteher des Botanischen Gartens in Lund ernannt und musste danach zu jedem Reichstag eine Erklärung abgeben, welche Fortschritte die Anpflanzungen in Schonen machten. Sein Hinweis auf die Notwendigkeit einer naturgeschichtlichen Professur in Lund wurde vom Reichstag 1756 positiv bewertet und so wurde Lidbeck der erste Inhaber der neuen Professur sowie Direktor über alle schonischen Anpflanzungen. 1760 heiratete Lidbeck Klara Grape und wurde schließlich noch 1786 zum Professor für Ökonomie ernannt. Der Universität Lund stand er in Jahren 1763, 1775 und 1783 als Rektor vor. 1795 ging er in Pension; ihm folgte Anders Jahan Retzius in seinem Fachbereich. Neben seinen Vorlesungen war Lidbeck vor allem für seine Anpflanzungen bekannt. So führte er z.B. die Kartoffel in Schonen ein. 1755 wurde er als Mitglied der Königlich Schwedischen Akademie der Wissenschaften berufen. Ihm zu Ehren wurde die Gattung Lidbeckia P.J.Bergius der Pflanzenfamilie der Korbblütler (Asteraceae) benannt.
Linné e figlio Carl
Carl von Linné (Råshult, Svezia, 23 maggio 1707 – Uppsala, Svezia, 10 gennaio 1778), conosciuto anche come Carlo Linneo o Carolus Linnaeus, nacque a Råshult (Svezia del sud) il 23 maggio 1707. Il padre, Nils Ingemarsson, contadino e in seguito pastore luterano a Stenbrohult, sposa Christina Brodersonia, futura madre di Carl, nel mese di marzo del 1706. Il nome Linnaeus è creato da Nils, padre di Carl. Dalla parola svedese Lind, significante Tilia ovvero il tiglio, questo nome fu scelto da Nils in ricordo del Tiglio secolare (Tilia cordata Miller) che si trovava in un terreno di proprietà del padre di Nils e nonno di Carl, Ingemar Bengtsson. Il nome, inizialmente Lindelius o Tiliander, si trasformò sino a diventare quello celebre oggi conosciuto: Linnaeus. Molto presto Carl manifestò per le piante un importante interesse che lo portava sovente a non recarsi a scuola. Nils lo spinse allora a lavorare come calzolaio. Fortunatamente le sue doti vennero notate da un medico: nel 1727 Linneo s’iscrisse all’università di Lund nella facoltà di medicina. Si trasferì in seguito all’Università di Uppsala, dove nel 1729, ancora studente, scrisse Nuptia arborum. Dopo un periodo di insegnamento, Linneo organizzò nel 1732 una spedizione scientifica in Lapponia. I risultati, pubblicati postumi nel 1811, appaiono nel Lachesis Lapponica. Nel 1737 venne pubblicato Flora Lapponica, testimone di un’altra spedizione nella Svezia centrale. Nel 1735 Jacopo Gronovio fece pubblicare la celebre opera di Linneo: il Systema naturae, di sole 11 pagine. A quel tempo Linneo si trovava in Olanda. Nel complesso, tredici edizioni del Systema naturae furono pubblicate. Linneo scrisse poi altri parecchi lavori che influenzarono la botanica e in generale la scienza di quel tempo e dei tempi a seguire, fino ai nostri giorni (Fundamenta botanica, Methodus plantarum, Genera plantarum, Classes platntarum e altri ancora). Dopo esser rientrato in patria (era il 1738), a Stoccolma, Carl von Linné sposò Sara Elisabeth Moraea, nel 1739. Dal 1741 insegnò dapprima anatomia e fisica e poi botanica all’università di Uppsala, per trentacinque anni. Divenne responsabile del giardino di Uppsala. Linneo ebbe diversi figli: Carl (1741–1783), Elisabeth Christina (1743–1782), Sara Magdalena, vissuta solo 15 giorni (1744–1744), Johannes (1754–1757), Sophia (1757–1830). Nel 1745 esce Flora svedese, primo libro dove nell’indice appaiono i nomi in classificazione binomiale. Pubblicò numerose opere negli anni a seguire, tra cui ricordiamo La fauna svedese (1746), Il giardino di Uppsala (1748) e il conosciuto Species plantarum, punto di riferimento della botanica. Nello stesso anno (1753), Linneo riceve l’onorificenza di Cavaliere della Stella Polare. Nel 1761 ricevette il titolo di nobile: da quel momento si chiamò Carl von Linné. Il Systema naturae viene più volte ripreso e ampliato da Linneo. L’opera sfiora le tremila pagine nella tredicesima edizione (1770). Nel 1771 rivede per la seconda volta il suo Species plantarum. Deliciae naturae fu pubblicato nel 1772. Dal 1773 Linneo non fu più in salute: soffriva di Angina pectoris e sciatica. Carl von Linné morì il 10 gennaio 1778, alle ore otto. I funerali ebbero luogo il 22 di gennaio nella cattedrale di Uppsala, dove le sue ceneri vengono tuttora custodite. Un medaglione in bronzo lo ricorda con l’incisione: Princeps Botanicorum. Il contributo alla scienza – Linneo era profondamente religioso. Aveva una concezione “creazionista” delle specie e del mondo. Per la scienza un concetto fondamentale fu quello di classificare, di “gerarchizzare” le varie categorie di organismi. Era necessario dar loro un nome, affinché tutti i naturalisti e scienziati di quel tempo, ma anche dei nostri giorni e di quelli a venire, parlassero uno stesso linguaggio: uno stesso nome rivolto a uno stesso organismo. Linneo disse: Nomina si nescis, perit et cognitio rerum (Se non conosci i nomi, viene a mancare anche la conoscenza delle cose). Nacque allora il sistema binomiale che rivoluzionò la nomenclatura scientifica. Fu infatti Carl von Linné che propose la nomenclatura latina Genere specie ancora attualmente in uso. Il primo nome si riferisce al genere dell’organismo e può essere lo stesso per differenti specie che hanno in comune alcuni caratteri; il secondo nome che appare nella nomenclatura binomiale proposta da Linnaeus rappresenta la specie ed è proprio dell’organismo in questione. Il nome che riguarda la specie è sovente descrittivo (ex. alba, pratensis, caeca…). Fino ad allora la nomenclatura era basata su di un’estesa descrizione di ogni organismo ed era piuttosto arbitraria, poiché ogni classificatore riteneva tipici e di rilievo dei caratteri differenti. Il concetto binomiale di nomenclatura fu dunque un’innovazione fondamentale nella classificazione degli organismi. Secondo Linneo la missione della sua vita era mostrare all’umanità l’ordine con cui Dio aveva creato tutto. Nella sua opera più conosciuta, il Systema naturae, Linneo classificò sulla base di caratteri anatomici visibili, quali la forma del becco e delle zampe degli uccelli, la dentatura dei mammiferi e la posizione delle pinne dei pesci, oltre 4000 animali. Moltissimi nomi di piante e animali esistenti sono stati creati da Carl von Linné in persona. Qualora un nome scientifico (Genere specie) è seguito da L. significa che il nome è stato proposto da Linneo. A lui si devono anche l’utilizzazione dei simboli ♀ (Venere) e ♂ (Marte) per indicare femmina e maschio. (http://www.linneo.org)
The Reverend John Lightfoot (9 Dec 1735 – 20 Feb 1788) was an English conchologist and botanist. He was born in Newent, Gloucestershire and educated at Pembroke College, Oxford. He gained a BA in 1756 and an MA in 1766. Lightfoot was Rector of Gotham, and the chaplain and librarian for Margaret Bentinck, Duchess of Portland. He was also curate of Colnbrook, Buckinghamshire and Uxbridge, which was then part of Middlesex. He was the author of Flora Scotica (2 vols, 1777) and An Account of Some Minute British Shells, Either not Duly Observed, or Totally Unnoticed by Authors (1786). Lightfoot died in Uxbridge and was buried at Cowley, which was then part of Middlesex.
Franz Balthasar von Lindern (* 1. März 1682 in Bouxwiller (Bas–Rhin); † 25. April 1755 in Straßburg) war ein deutsch–französischer Arzt und Botaniker. Franz Balthasar von Lindern war eines von acht Kindern eines Apothekers. Nach dem Besuch des Gymnasiums im Heimatort studierte er ab 1700 in Straßburg, dann in Halle (Saale), Leipzig, Wittenberg, Erfurt und Jena. 1708 verfasste er seine Doktorschrift, zwei Jahre später eine Arbeit über Knochenerkrankungen. Dann kehrte er nach Straßburg zurück und lehrte an der medizinischen Fakultät Botanik, Chemie und Pharmakologie. Bekannt wurde er durch ein Buch über Geschlechtskrankheiten (Der Venus–Spiegel) und ein populäres Buch über häufige sonstige Krankheiten (Medizinischer Passe–partout). Diese Werke waren nicht, wie unter den Medizinern seiner Zeit üblich, in Lateinisch, sondern in allgemein verständlichem Deutsch geschrieben. Sie wurden deshalb auch von der weniger gebildeten Bevölkerung nachgefragt und erschienen in mehreren Auflagen. Neben seiner Tätigkeit als Arzt und medizinischer Ratgeber war von Lindern ein begeisterter Botaniker. Er war Direktor des Botanischen Gartens in Straßburg und erforschte die Pflanzenwelt des Elsass. Im Jahr 1728 veröffentlichte er eine Flora des Elsass; die im Gebiet von Straßburg, Barr, Mutzig und Bouxwiller gefundenen 920 Pflanzenarten hatte er nach dem System von Joseph Pitton de Tournefort gegliedert. Deshalb trug das Buch den Titel Tournefortius Alsaticus. 1747 erschien eine zweite Auflage (Hortus alsaticus). Werke: Tournefortius Alsaticus cis et trans Rhenanus sive opusculum botanicum, ope cuius plantarum species, genera ac differentias praeprimis circa Argentoratum locis in vicinis cis et trans Rhenum sponte nascentes. Argentorati (= Straßburg), 1728. – Speculum veneris noviter politum, das ist, neu ausgeputzter Venus–Spiegel, oder Beschreibung der meisten Venus–Kranckheiten. Straßburg, 1728. Weitere Auflagen: 1732, 1736, 1743 und 1750. – Medicinischer Passe–partout, oder Hauptschlüssel aller und jeder Krankheiten des menschlichen Leibes, 2 Bände, Straßburg 1739 und 1741. – Hortus Alsaticus. plantas in Alsatia nobili; inprimis circa Argentinam sponte provenientes, menstruo, quo singulae florent, ordine designans in usum botanophilorum excursiones facientium conscriptus. Argentorati (= Straßburg), 1747. Die Pflanzengattung Büchsenkraut (Lindernia) aus der Familie der Braunwurzgewächse erhielt ihren wissenschaftlichen Namen zu Ehren von Franz Balthasar von Lindern.
Johann Heinrich Friedrich Link (February 2, 1767 – January 1, 1851) was a German naturalist and botanist. Link was born at Hildesheim as a son of the minister August Heinrich Link (1738–1783), who taught him love of nature through collection of 'natural objects'. He studied medicine and natural sciences at the Hannoverschen Landesuniversität of Göttingen, and graduated as MD in 1789, promoting on his thesis "Flora der Felsgesteine rund um Göttingen" (Flora of the rocky beds around Göttingen). One of teachers was the famous natural scientist Johann Friedrich Blumenbach (1752–1840). He became a private tutor (Privatdozent) in Göttingen. In 1792 he became the first professor of the new department of chemistry, zoology and botany at the University of Rostock. During his stay at Rostock, he became an early follower of the antiphlogistic theory of Lavoisier, teaching about the existence of oxygen instead of phlogiston. He was also a proponent of the attempts of Richter to involve mathematics in chemistry, introducing stoichiometry in his chemistry lessons. In 1806 he set up the first chemical laboratory at Rostock in the "Seminargebäude". He began to write an abundant number of articles and books on the most different subjects, such as physics and chemistry, geology and mineralogy, botany and zoology, natural philosophy and ethics, prehistoric and early history. He was twice elected rector of the university.
Augustin Lippi (* 1678 à Paris ; † le 10 novembre 1705 à Sannar) était un médecin et botaniste français d'origine italienne. En 1703, Fagon, surintendant du Jardin du roi, demande à Lippi de se joindre à la mission Lenoir du Roule qui part en Éthiopie pour tenter de nouer des liens diplomatiques avec le Négus Yasous le Grand. Il explora le Soudan, situé entre la Haute–Égypte et la Nubie, en 1704. Il y périt l'année suivante, à vingt–sept ans. Augustin Lippi fut massacré à Sannar avec l'ambassadeur que Louis XIV envoyait au Négus d'Abyssinie. En Égypte, avant de s'enfoncer dans l'Afrique orientale, Lippi prend la précaution d'envoyer sa récolte d'échantillons de plantes en France. Ultérieurement, elles seront incorporées dans l'herbier historique (codé P–JU) d'Antoine de Jussieu conservé à Paris, au Muséum national d'histoire naturelle. Linné dédiera en honneur à Lippi le genre Lippia de la famille des Verbénacées.
Don Eugenio de Llaguno y Amírola, escritor y político español, nació en 1724 en Menagarai, Álava, en el barrio de Mendieta "en la casa que llaman de Llaguno". Don Eugenio nació el 15 de octubre de 1724 en Menagarai, municipio localizado en Ayala (también conocida como Álava). Su padre, don Juan Andrés de Llaguno Fernández de Jauregi, era una constructor de gran calidad y buena técnica (Iglesias de San Román de Okondo, Quejana y Luyando en Álava). Hacia el año 1743 se encontraba en Madrid bajo la tutela de su tío Don Agustín de Montiano y Luyando, director de la Real Académia de la Historia y Secretario de la Cámara de Castilla. Fue oficial de la Secretaría de Cámara y Estado de Castilla de Gracia y Justicia durante el reinado de Carlos III. Fue, además, Alcalde de Menagarai en 1754, y fue condecorado como Caballero de la Orden de Santiago en 1758. Don Eugenio murió el 10 de febrero de 1799 en Madrid, víctima de una pulmonía, sin dejar descendencia. Motivado por el arte y la cultura realizó diversos estudios literarios e investigaciones sobre el arte. Fue Secretario de la Real Academia de la Historia y miembro de la Real Sociedad Bascongada de los Amigos del País. En 1775, don Eugenio descubrió el manuscrito del Cantar de mio Cid en el convento para monjas de Vivar, texto que anteriormente estuvo en el concejo de dicha localidad. En 1779, don Eugenio (debido a sus altos cargos) puedo extraer el manuscrito del convento para que sea publicado por el filólogo Tomás Antonio Sánchez en el tomo I de su Colección de poesías castellanas anteriores al siglo XV, editado en ese mismo año. Cuando se terminó la edición, don Eugenio retuvo el manuscrito en su poder, que más tarde pasaría a posesión de sus herederos. Además, don Eugenio tradujo al español la tragedia Atalía de Jean Racine; y publicó una edición crítica de las Coplas a la muerte de su padre de don Jorge Manrique en Madrid en 1775. Como única obra suya redactó las Noticias de los arquitectos y arquitectura de España desde su restauración, publicadas por Ceán Bermúdez en 1829. Igualmente fue un gran político y hombre de Estado, como lo demostró al ocupar diversos cargos político: Oficial de la Secretaría de Cámara de Castilla de Gracia y Justicia, Secretario en la primera Secretaría de Estado, ministro y consejero, y primer rey de armas de la Orden del Toisón de Oro. Jamás olvidó su Menagarai natal, como lo demuestra el encargó que realizó al pintor Ginés Andrés de Aguirre de un lienzo sobre San Pedro que hoy cuelga del retablo principal de la Iglesia de San Pedro de Menagarai –Álava–.
Peter Loeffling: pioneer of the studies of natural sciences in Venezuela. Peter Loeffling was born at Tolvfors, Sweden, the 31th of January of 1729 and died at San Antonio del Caroní, today Bolivar State, Venezuela, the 22th of February of 1756. Loeffling was a disciple of the famous scientist Linnaeus who chooses him to travel to Spain at requirements of King Fernando VI. At the end of 1753 he was called to join, as a scientist, the Expedition of Limits of Jose de Iturriaga in order to study the possible natural sowings of some species, especially cinnamon, as well as the existence of medicinal plants like quinine. He arrived at Cumaná the 11th of April of 1754 and as soon as he did he began to study the flora and the fauna of the region since he planned to write a book about the Natural History of South America. The 23th of April of 1755 Loeffling started off to Guayana by land, to join the rest of the expedition that had gone by sea, arriving in there in May. There he was attacked by intermittent fevers and died at the mission of San Antonio del Caroní the 22th of February of 1756. Peter Loeffling was buried on the foot an orange tree in front of the church of the mission, wearing his wig as the scientist had requested. The results of the studies of Peter Loeffling were sent to Madrid from where Linnaeus obtained a copy for the publication of "Iter Hispanicum" in 1758 that included Loeffling`s manuscripts “Plantae Hispanicae” and “Plantae Americanae”. When in July of 1799 the Spanish ship Pizarro, in which Alexander von Humboldt and Aime Bonpland had travelled to America had to berth at Cumaná, both scientists were happy to arrive at he same place in which Loeffling had initiated his studies in America. ––– Peter (ou Per ou Pehr) Loefling (ou Löfling) est un botaniste suédois, né le 31 janvier 1729 à Tolvfors dans la paroisse de Valbo (province suédoise de Gästrikland) et décédé du paludisme le 22 février 1756 à San Antonio del Caroní (Guyane vénézuélienne). Après des études à l’université d'Uppsala où il suit les cours de Carl von Linné (1707–1778), il se rend en Espagne en 1751 pour apprendre l’espagnol. Il prend part à l’expédition d’exploration de l’Amérique du Sud qui quitte l’Espagne en février 1754 pour le Venezuela. C’est Linné qui fait paraître posthumément son seul article scientifique, Iter Hispanicum, eller resa til Spanska Länderna uti Europa och America 1751 til 1756 en 1758. Linné lui dédiera le genre botanique Loeflingia de la famille des Caryophyllaceae.
Tomás López de Vargas Machuca (Madrid, 1730 – idib., 1802 fue un geografo y cartógrafo español del período ilustrado que escribió entre otras los Principios Geográficos aplicados al uso de mapas en 1775, y la Cosmografía abreviada. Uso del globo celeste y terrestre, en 1784. Comenzó sus estudios como geógrafo y cartógrafo en Madrid, en el Colegio Imperial de la capital española, en 1752. Debido a la necesidad acuciente de personal cualificado para el levantamiento cartográfico de un mapa nacional, a semejanza de otros estados europeos del período ilustrado. Tomás López, en ese mismo año, fue enviado a París a propuesta del Marqués de la Ensenada junto con otros cartógrafos a propuesta de los marinos Jorge Juan y Santacilia y Antonio de Ulloa. A París le acompañaron Juan de la Cruz Cano y Olmedilla, Manuel Salvador Carmona y Alonso Cruzado. En esta etapa parisina, que duró hasta 1760, tuvo por maestro al gran geógrafo Juan Bautista Bourguignon d’Anville. De nuevo en España, recibió el título de geógrafo de los dominios de Su Magestad y fue colocado al mando del nuevo Gabinete de Geografía creado por el monarca Carlos III. El principal proyecto en el que trabajó fue el levantamiento de mapas de las regiones de España, entre ellas los Reinos de Córdoba, Granada, Jaén y Sevilla. Para la elaboración de sus mapas remitió a las parroquias un cuestionario para que informaran sobre la localización de sus villas, ríos, montes, caminos, etc. La finalidad era la creación de un Diccionario Geográfico–Histórico de España. Sin embargo esta ambiciosa obra nunca se terminó, si bien se conserva un gran número de documentación en la Biblioteca Nacional de Madrid. Su obra carece de exactitud y rigurosidad, posiblemente debido a la falta de trabajo de campo y a carencias formativas. De esta forma los dos tomos dedicados a Madrid fueron muy criticados por el Conde de Floridablanca y finalmente destruidos. Estas deficiencias se manifestaron en la Guerra de la Independencia, cuando los estados mayores francés e inglés tuvieron que realizar sus maniobras con una cartografía propia dadas las inexactitudes de la de Tomás López. Tras su muerte en 1803 sus dos hijos, también geógrafos, publicaron en 1804 un Atlas que contiene 102 mapas, que sería reeditado en 1810, 1830 y 1844.
João de Loureiro (1717–1791) was a Portuguese Jesuit missionary, paleontologist, physician and botanist. In 1742 he travelled to Cochinchina, remaining there for 30 years. He became a specialist in Asian flora and on his return published Flora Cochinchinensis (1790). The standard author abbreviation Lour. is used to indicate this individual as the author when citing a botanical name. – João de Loureiro, né le 28 août 1717 à Lisbonne (Portugal) et y décédé le 18 octobre 1791, était un prêtre jésuite portugais, missionnaire en Cochinchine (Vietnam), paléontologiste, médecin et botaniste. En 1742, il part pour la Cochinchine où il restera 30 ans. Il devient spécialiste de la flore asiatique et publie en 1790 un livre sur ce thème: Flora Cochinchinensis (flore de Cochinchine). § João de Loureiro (1717–1791) was a Portuguese Jesuit missionary, palaeontologist, physician and botanist. In 1742 he travelled to Cochinchina, remaining there for 30 years. He became a specialist in Asian flora and on his return published Flora Cochinchinensis (1790). The standard author abbreviation Lour. is used to indicate this individual as the author when citing a botanical name.
Lucio Licinio Lucullo, Lucius Licinius Lucullus, uomo politico romano (Roma, 117 aC – 56 aC), militò nell'esercito di Silla, prima nella guerra sociale del 90–88 aC e poi nella spedizione in Asia contro Mitridate che vinse a Tenedo riportandone grande preda. I giochi che organizzò nell'80 come edile rimasero famosi per lo sfarzo. Pretore in Africa nel 77, rivestì il consolato nel 74. Ottenuto il comando della nuova guerra contro Mitridate, batté più volte l'avversario che fu costretto a rifugiarsi presso Tigrane re d'Armenia, contro cui Lucullo condusse una spedizione vittoriosa conquistandone nel 69 la capitale Tigranocerta. Nel 66, anche per l'avversione dei pubblicani di cui aveva cercato di frenare le arbitrarie esazioni, fu richiamato, cedendo il comando a Pompeo. Solo dopo tre anni gli fu concesso il trionfo. D'allora in poi si ritirò dalla politica attiva conducendo vita raffinata, per le enormi ricchezze accumulate (i suoi pranzi divennero proverbiali), coltivando amicizie (Cicerone, Catone), dedicandosi alle lettere e alle arti (scrisse una storia della guerra sociale).
Christian Gottlieb Ludwig (April 30, 1709 – May 7, 1773) was a German physician and botanist born in Brzeg, Silesia. He was the father of Christian L. Ludwig (1749–1784), who is known for his translations of Joseph Priestley's scientific experiments. From 1728 he studied medicine and botany at the University of Leipzig, but due to lack of funds he was forced to discontinue his studies and took a job as a botanist on an expedition to Africa under the leadership of Johann Ernst Hebenstreit (1703–1757). In 1733 he resumed his studies, and in 1736 gave lectures at Leipzig. In 1737 he earned his doctorate under Augustin Friedrich Walther (1688–1746), and in 1740 became an associate professor of medicine. At Leipzig he would subsequently become a full professor of medicine (1747), pathology (1755), and therapy (1758). Ludwig is remembered for his correspondence with Carl Linnaeus, particularly regarding discussions of latter's classification system. It was Linnaeus who named the plant genus Ludwigia in honor of Ludwig. The standard author abbreviation Ludw. is used to indicate this individual as the author when citing a botanical name. Selected publications: De vegetatione plantarum marinarum (1736) – De sexu plantarum (dissertation – 1737) – Institutiones historico–physicae regni vegetabilis in usum auditorum adornatae... (1742) – Institutiones medicinae clinicae praelectionibus academicis accomodatae (1758) – De lumbricis intestina perforantibus (1761) – Ectypa vegetabilium (1760–1764) – Adversaria medico–practica (3 volumes 1769–1773) – Commentarii of rebus in scientia naturali and medicina gestis (Zeitschrift 1752–1806, Mitgründer)