Etimologia
  botanica
  di Alexandre de Théis
  1810

Q
  L'asterisco * indica che la voce è presente nella raccolta biografica  
  
  o nel lessico  
 
{} cancellazione – <> aggiunta oppure correzione
Q
| QUADRIA.
          Antoine de la Quadra, cultivateur
          espagnol. Flore du Pérou,
          page 13. | QUADRIA
          – Antonio de la Quadra, coltivatore spagnolo. Flore
          du Pérou,
          page 13. | 
| QUALEA. Quale, nom que les Galibis[1]
          donnent à cet arbre. Aublet*,
          page 7. | QUALEA – Quale
          è il nome che i Galibi danno a quest'albero.
          Aublet, pag. 7. | 
| QUAPOYA. Quapoy, nom que les Galibis
          donnent à cet arbuste. Aublet*, pag. 900. | QUAPOYA
          – Quapoy è il nome che i
          Galibi danno a questo arbusto.
          Aublet, pag. 900. | 
| QUARARIBEA.
          Nom de cet arbuste à la Guyane[2].
          Aublet*, pag. 693. | QUARARIBEA
          – Nome di questo arbusto in Guiana. Aublet,
          pag. 693. | 
| QUASSIA. D’un nègre nommé Quassie*, qui le premier en découvrit la qualité
          fébrifuge. Q.
          simaruba.
          Simarouba, nom que donnent
          les Galibis à cet arbre. Aublet*,
          pag. 863. | QUASSIA
          – Da un negro che si chiamava Quassie van Timotibo, il quale per
          primo ne scoprì la proprietà febbrifuga. Quassia simaruba – Simarouba è il nome Che
          i Galibi danno a quest'albero. Aublet,
          pag. 863. | 
| QUELUSIA.
          Nom insignifiant donné à ce genre par Vandelli, page 21. Quelus[3]
          est une maison de plaisance de la reine de Portugal, située à deux
          lieues de Lisbonne. | QUELUSIA
          – Nome insignificante attribuito a questo genere da Vandelli (pag.
          21). Queluz è una casa da diporto della regina del Portogallo (<forse
          Maria I – 1734-1816>) ed è situata a 2 leghe da Lisbona. | 
| QUERCUS. Ce nom vient du celtique quer,
          beau; cuez, arbre, Dom.
          Lepellettier*, le bel arbre, l’arbre par excellence; ce mot
          n’étoit qu’une épithète que les Celtes appliquoient à cet
          arbre parce qu’il produisoit le gui sacré, objet de leur vénération.
          Il avoit d’ailleurs son nom particulier en leur langue, et ils l’appeloient
          derw. De
          derw, les Celtes avoient
          fait druїdes, prêtres du chêne. La ville de
          Dreux[4]
          en tire aussi son nom. César, dit en propres termes, que le grand
          collège des Druїdes
          étoit situé vers les confins du pays Chartrain, précisément où
          est Dreux. C’est de ce même
          mot derw que les Grecs ont fait δρῦς,
          chêne,
          et par suite Δρυάδες[5]
          et Ἁμαδρυάδες, divinités du chêne.
          Il paroît
          même que l’idée
          d’attacher des divinités aux chênes,
          étoit parmi les Grecs un reste de la religion des Celtes, leurs ancêtres.
          C’est encore par une suite naturelle de cette idée qu’en
          mythologie, le chêne
          étoit consacré à Jupiter, comme au premier des dieux. Il en est de
          même
          des célèbres oracles rendus par les chênes de Dodone[6]. Dans
          la langue d’Ossian[7],
          l’erse[8],
          le chêne
          est encore appelé darach,
          toujours dérivé de derw. Chêne, anciennement quesne,
          de quernus, que l’on a dit, en basse latinité, pour quercus.
          En anglois oak, de l’anglo-saxon
          ac, chêne;
          d’où aussi eiche, en allemand. Q.
          phellos
          (φελλός).
          Nom grec du liége, quercus
          suber. Cet arbre n’a que des rapports généraux avec le liège
          et on ne l’a nommé ainsi que pour placer un synonyme ancien. Q.
          ilex.
          Voy. le genre Ilex. En françois,
          yeuse, du celtique iw,
          qui signifie vert. Sa feuille est toujours verte; on le nomme même
          communément chêne vert. Voy. Hedera. Q.
          grammuntia.
          François
          Sauvages*, Fl. Montpel. 96, regarde comme une espèce distincte, cet arbre
          que la plupart des botanistes tiennent pour une variété de l’yeuse.
          Son nom lui vient de ce qu’il croît
          au bois de Grammont, dans les environs de Montpellier. Q.
          suber.
          Plusieurs savants ont fait dériver ce nom du latin sub,
          dessous; de l’usage qu’en faisoient anciennement les femmes pour
          garnir le dessous de leur chaussure, soit pour se tenir les pieds
          chauds, comme dit Pline*, liv. 16, chap. 8, soit pour paroître
          plus grandes, selon l’opinion de plusieurs auteurs. Cet usage étoit
          tellement général, qu’Aristophane*, pour désigner les femmes, les
          appelle ironiquement écorce
          d’arbre. Selon
          Vossius*, suber vient du grec σῦφαρ,
          écorce; liége en françois.
          Selon Furetière{s}* et autres, ce mot vient du latin levis,
          léger, dont les Italiens ont fait
          lieve, et les François,
          liége. Au
          midi de la France, cet arbre est appelé surier,
          dérivé de suber. Q.
          coccifera
          (coccus, la graine d’écarlate[9],
          en grec κόκκος;
          fero, je porte). C’est sur
          cette petite espèce de chêne
          que l’on recueille l’insecte appelé graine
          d’écarlate, en raison de la couleur que l’on en tire. Les
          Arabes le nomment qermez,
          qui signifie en leur langue,
          vermisseau, et par suite ils ont appelé qermezy,
          la couleur rouge qu’il produit[10]. C’est de là que
          vient notre mot cramoisi[11];
          on disoit même
          kermezi anciennement. Voyez
          Bochart*, Hierozoї.
          vol. 2, pag. 625. Les
          Latins l’appeloient dans le même sens vermiculus,
          petit ver, et c’est de là que vient le mot vermillon,
          qui exprime la même
          chose que cramoisi. Voy. les
          Mémoires de l’Acad, des
          scienc. 1714. Coccus et κόκκος, ont pour primitif coc, rouge, en celtique, d’où cochesne[12],
          coquelicot. Voy. Cactus
          cochenillifer. Q.
          prinos.
          Voy. le genre Prinos. Le prinos des
          Grecs est le même arbre que l’ilex
          des Latins. Comme il a conservé en botanique son nom latin, quercus
          ilex, le synonyme grec a été appliqué à un chêne d’Amérique
          dont les feuilles sont dentelées en scie, selon la signification de
          ce mot. Q.
          esculus.
          Voy. le genre Esculus ou
          Aesculus. Selon
          Bauhin*, Pinax 420, l’esculus
          des Latins est le φηγός
          des Grecs. Q.
          robur.
          Latinisé de rove, synonyme de derw,
          chêne
          en celtique. Par allusion à la dureté de son bois, les Latins
          avoient exprimé la force, la vigueur, par ce même
          mot robur, et ils lui
          avoient donné des dérivés: robustus,
          corroborare. On
          sera peut-être
          surpris de voir le chêne avoir plusieurs
          synonymes en langue celtique; mais toutes les fois qu’une chose
          quelconque est principale ou seulement essentielle pour un peuple, les
          manières de l’exprimer se multiplient. En
          arabe, il est quantité de façons de désigner un
          lion[13];
          en tartare, il y a un nombre prodigieux de mots pour exprimer tout ce
          qui a rapport {an}
          <au> cheval. Voy. à ce sujet le savant Dictionnaire
          tartare de Langlès*. Q.
          aegilops.
          Nom que Pline*, d’après les Grecs, donne à un chêne
          très-élevé. Il porte,
          dit-il, liv. 16, chap. 8, à ses
          rameaux des barbes d’une coudée[14]
          de long, et c’est de là qu’il tire son nom. Αἴξ,
          αἰγός,
          chèvre; {ὄψ}
          <ὤψ>,
          figure; mine de chèvre, à cause de cette longue barbe qui n’est, sans
          doute, qu’un lichen
          filamenteux très-commun sur les vieux arbres forestiers. Pline a
          confondu ici l’accessoire avec le principal. Voy. le genre Aegilops. | QUERCUS
          – Questo termine deriva dal celtico quer,
          bello, e cuez, albero, come riferisce Dom Louis Le Pelletier: il bell'albero, l'albero per eccellenza.
          Questa parola era solo un epiteto che i Celti applicavano a
          quest'albero in quanto produceva il vischio sacro, oggetto della loro
          venerazione. D'altro canto aveva il suo nome particolare nella loro
          lingua e lo chiamavano derw. Da
          derw i Celti avevano creato druidi, i sacerdoti della
          quercia. Anche la città di Dreux ne trae il nome. Giulio Cesare con
          parole sue dice che il grande collegio dei Druidi era situato verso i
          confini dell'area di Chartres (<capoluogo di Eure-et-Loir>),
          precisamente dove si trova Dreux. È da questa stessa parola derw
          che i Greci hanno creato drÿs, quercia, e di conseguenza Dryádes,
          Driadi, e Hamadryádes, Amadriadi, divinità della quercia.
          Sembra pure che l'idea di congiungere delle divinità alle querce
          fosse, per i Greci, fosse un residuo della religione dei Celti, loro
          antenati. È ancora per una conseguenza naturale di questa idea che in
          mitologia la quercia era sacra a Giove, come capo degli Dei. Ci sono
          ugualmente dei celebri oracoli resi dalle querce di Dodona. Nella lingua
          di Ossian, l'erse o gaelico, la quercia è ancora chiamata darach,
          sempre derivato da derw. Il francese chêne,
          quercia, anticamente quesne,
          da quernus, che durante la
          bassa latinità venne usato al posto di quercus.
          In inglese oak,
          dall'anglosassone ac, quercia, da cui anche Eiche
          in tedesco. Quercus phellos – Phellós è il nome greco del sughero, Quercus suber. Quest'albero ha solo dei rapporti generali con il
          sughero e lo si è chiamato così solo per collocare un sinonimo
          antico. Quercus ilex
          – Vedere il genere Ilex.
          In francese suona yeuse,
          leccio, dal celtico iw che
          significa verde. La sua foglia è sempre verde e comunemente lo si
          chiama quercia verde. Vedere Hedera. Quercus grammuntia –
          François Boissier de Sauvages (Fl.
          Montpel.
          96) considera come una specie distinta quest'albero che la maggior
          parte dei botanici considera come una varietà del leccio. Il suo nome
          gli deriva da ciò che cresce nel bosco di Grammont nei dintorni di
          Montpellier. Quercus suber – In latino suber è il sughero, pianta e corteccia. Numerosi
          studiosi hanno fatto derivare questo nome dal latino sub,
          sotto, per l'uso che anticamente ne facevano le donne per guarnire la
          suola delle loro scarpe, sia per mantenersi i piedi caldi, come dice
          Plinio (XVI, 8), sia per sembrare più alte secondo l'opinione di
          numerosi autori. Questo impiego era talmente generalizzato che
          Aristofane, per designare le donne, le chiamava ironicamente corteccia
          d'albero. Secondo
          Vossius suber, sughero, deriva dal greco sûphar, pelle
          avvizzita, corteccia, e il sughero è detto liège
          in francese. Secondo Antoine Furetière e altri, questa parola deriva
          dal latino levis, leggero, da cui gli Italiani hanno creato lieve
          e i Francesi liège. Nel
          mezzogiorno della Francia quest'albero è chiamato surier,
          derivato da suber. Quercus coccifera – In latino coccus è la galla scarlatta o cecidio scarlatto,
          detta kókkos in greco; fero in latino significa io
          porto. È su questa piccola specie di quercia che si raccoglie la
          galla determinata da un insetto, denominata galla scarlatta a causa
          del colore che se ne estrae. Gli
          Arabi chiamano l'insetto qermez,
          che nella loro lingua significa vermiciattolo, e di conseguenza hanno
          chiamato qermezy il colore rosso che produce. È da qui che deriva il
          nostro vocabolo francese cramoisi,
          cremisi in italiano, e anticamente si diceva anche kermezi. Vedere Bochart,
          Hierozoї.
          vol. 2, pag. 625. I
          Latini con lo stesso significato lo chiamavano vermiculus,
          piccolo verme, ed è da ciò che deriva la parola francese vermillon, vermiglio, che
          esprime la stessa cosa del francese cramoisi, cremisi. Vedere le Mémoires de l’Acad, des
          scienc. 1714. Coccus in latino e kókkos in
          greco hanno alla base coc,
          rosso in lingua celtica, da cui il francese cochesne,
          sorbo, coquelicot, papavero.
          Vedere Cactus cochenillifer. Quercus prinos – Vedere il genere Prinos.
          Il prînos dei Greci, il leccio, è lo stesso albero detto ilex
          dai Latini. Siccome in botanica ha conservato il suo nome latino, Quercus
          ilex, il sinonimo greco è stato applicato a una quercia americana
          le cui foglie sono dentellate come una sega, <in quanto prînos
          deriva da príø, io sego, come viene spiegato alla voce Prinos>. Quercus esculus – Vedere il genere Esculus
          o Aesculus. Secondo
          Gaspard Bauhin (Pinax 420)
          l’esculus dei Latini (il rovere - Quercus robur) è la phëgós,
          la quercia, dei Greci. Quercus robur – Robur è la latinizzazione di rove,
          sinonimo di derw, quercia in
          celtico. Per allusione alla durezza del suo legno, i Latini avevano
          espresso la forza e il vigore con questa stessa parola robur, forza, vigore, <oltre che rovere in prima istanza>, e
          le avevano creato dei derivati: robustus,
          robusto, corroborare,
          rinvigorire. Forse
          si rimarrà sorpresi nel vedere che la quercia ha numerosi sinonimi in
          lingua celtica, ma tutte le volte che una cosa qualunque è principale
          o solamente essenziale per un popolo, i modi di esprimerla si
          moltiplicano. In
          arabo esiste una quantità di modi di designare un leone, in tartaro
          esiste un numero prodigioso di parole per esprimere tutto ciò che ha
          un rapporto con il cavallo. Vedere a questo proposito il dotto Dictionnaire
          tartare di Louis-Mathieu Langlès. Quercus aegilops – Nome che Plinio, basandosi sui Greci, attribuisce a una quercia
          molto alta. Egli dice (XVI, 8): Reca nei suoi ramoscelli delle barbe
          della lunghezza di un cubito ed è da questo che trae il suo nome. In
          greco aíx, genitivo aigós, capra, e øps,
          figura, aspetto: aspetto di capra, a causa di questa lunga
          barba che senza dubbio altro non è che un lichene filamentoso molto
          comune sui vecchi alberi delle foreste. Qui Plinio ha confuso
          l'accessorio con il principale. Vedere il genere Aegilops. | 
| QUERIA. Joseph
          Quer*, botaniste espagnol, professeur à Cadix.  On
          a de lui une Flore espagnole, publiée en 1762. | QUERIA
          – José Quer y Martínez, botanico spagnolo, professore a Cadice. Di
          lui abbiamo una Flore espagnole,
          pubblicata nel 1762. | 
| QUILLAIA.
          Quillaї,
          nom que donnent à cet arbre les naturels du Chili. Molina*,
          pag. 147. Il vient de quillean,
          laver, en leur langue. Ils s’en servent pour remplacer le savon. | QUILLAIA
          – Quillaї
          è il nome che danno a quest'albero gli aborigeni del Cile. Molina,
          pag. 147. Deriva da quillean
          che nella loro lingua significa lavare. Se ne servono al posto del
          sapone. | 
| QUINARIA
          (quinarius, par cinq) Ses
          fleurs ont un calice à cinq feuilles, une corolle à cinq pétales;
          il leur succède un germe à cinq angles qui devient une baie à cinq
          loges. Loureiro*, pag.
          334. Ce genre se rapproche du cookia. | QUINARIA
          – Il latino quinarius significa composto da cinque. I suoi
          fiori hanno un calice con 5 foglie e una corolla a 5 petali. A loro fa
          seguito un germe a 5 angoli che diventa una bacca a 5 loculi. Loureiro,
          pag. 334. Questo genere si avvicina al Cookia. | 
| QUINCHAMALIUM.
          Quinchamali, nom que porte
          cet arbuste au Chili. Frézier*,
          pag. 71, Molina*, pag.
          121. | QUINCHAMALIUM
          – Quinchamali è il nome che ha questo arbusto in Cile. Frézier,
          pag. 71, Molina, pag.
          121. | 
| QUISQUALIS.
          Mot latin qui exprime l’incertitude, le doute. Il à été donné
          par Rumphius*, liv. 7, chap. 38, à un arbuste d’Amboine[15], parce qu’il est
          sujet à varier. | QUISQUALIS
          – Termine latino che esprime l'incertezza, il dubbio: chi, quale. È
          stato attribuito da Rumphius (VII, 38) a un arbusto dell'isola di Ambòina
          in quanto e soggetto a variazioni. | 
| QUIVISIA.
          Du nom de bois de quivi, que porte cet arbre à l’île
          de France. Jussieu*, d’après Commerson*, pag. 264. | QUIVISIA
          – Dal nome di legno di quivi che ha quest'albero nell'île
          de France. Jussieu,
          basandosi su Commerçon,
          pag. 264. | 
[1]
      I Galibi (citati anche come Kalina, Karina, Carina, Kalinha, Kariña,
      Kari’ña, Kaliña o Karinya) sono un gruppo etnico amerindo che vive in
      diversi Paesi della costa caraibica del Sud America. La loro lingua e
      cultura è il Cariban. Sono conosciuti anche come Kali'na e Caribi.
      L'origine del nome Galibi, dato dagli Europei, è sconosciuta. Essi
      preferiscono farsi chiamare Kali'na tilewuyu, cioè "veri Kali'na",
      principalmente per differenziarsi dai meticci Maroon. L'uso del nome Kali'na
      è divenuto solo recentemente di uso comune nelle pubblicazioni.
[2]
      La Guiana (detta anche Guyana o Guayana, in spagnolo Guayanas) è una
      regione fisica dell'America meridionale, compresa fra l'oceano Atlantico,
      i bacini dell'Orinoco, del Rio delle Amazzoni e del Rio Negro, suo
      affluente. È costituita da un vasto tavolato inclinato verso il nord,
      bordato da una fascia costiera pianeggiante che continua a oriente nel
      territorio brasiliano e a occidente in quello venezuelano.
[3]
      Queluz (Portuguese pronunciation: kelus) is a Portuguese city located in
      the municipality of Sintra, in the Greater Lisbon Area. It comprises the
      parishes of Massamá, Monte Abraão and Queluz and has over four parishes
      in his area of influence: Almargem do Bispo, Belas, Barcarena and Casal de
      Cambra. Queluz City was created on July 24, 1997 by Law No 88/97. Before,
      Queluz was a village. Crossed by Jamor river, the city with the Queluz
      National Palace was the seat of the Portuguese court in the eighteenth
      century.
[4]
      Dreux è un comune francese di 31.314 abitanti (2012) situato nel
      dipartimento dell'Eure-et-Loir nella regione del Centro. Diede i natali al
      botanico Jean-Louis-Auguste Loiseleur Deslongchamps (1774- 1849). I suoi
      abitanti si chiamano Drouais o Durocasses.
[5]
      Le Driadi e le Amadriadi sono figure della mitologia greca. In origine le
      Driadi erano propriamente le ninfe delle querce, come rivela il loro nome
      (drÿs,
      quercia). Le Driadi erano ninfe che vivevano nei boschi e ne incarnavano
      la forza e il rigoglio vegetativo. A differenza delle Amadriadi, non
      facevano corpo con gli alberi, né morivano con essi, ma potevano muoversi
      liberamente, danzare e unirsi anche con semplici mortali. Le Amadriadi
      vivevano nel tronco degli alberi, inseparabili dal destino della pianta
      cui appartenevano, al punto di morire quando la pianta appassiva.
[6]
      Nella città di Dodona, situata nell'Epiro, in Grecia nord-occidentale, si
      trovava un oracolo dedicato a due divinità pelasgiche, Zeus, il dio del
      fulmine re dell'Olimpo, e la Dea Madre, identificata con Dione (mentre in
      altri luoghi era associata a Rea o Gaia).
[7]
      Ossian: nome di un leggendario bardo e guerriero scozzese del sec. III,
      figlio di Finn (o Fingal), protagonista di una vicenda amorosa che lo vede
      rapito in fondo al mare, per avere trasgredito a un monito del dio delle
      acque per cui diviene vecchio e cieco e, come l'antico Omero, celebra le
      vicende del suo popolo. I primi cenni a Ossian si trovano negli scritti di
      Giraldo Cambrense, del XII secolo. Ma la vera vicenda letteraria esplose
      quando James MacPherson (1736-1796) scrisse I Canti di Ossian.
      MacPherson finse di aver tradotto fedelmente le originali poesie di Ossian,
      mentre in realtà si basò su dei frammenti e inventò di sana pianta
      molti "canti". Il successo delle sue presunte traduzioni,
      nondimeno, fu straordinario. La prosa potente, il riferimento a una natura
      selvaggia, ne fanno un'opera fondamentale del Preromanticismo.
[8]
      In European English, the language is usually referred to as Irish.
      The term Irish Gaelic is often used when English speakers discuss
      the relationship among the three Goidelic languages (Irish, Scottish
      Gaelic, and Manx) or when discussion of Irish is confused to mean
      Hiberno-English, the form of English as spoken in Ireland. Scottish Gaelic
      is often referred to in English as simply Gaelic. Outside Ireland,
      the term Gaelic or "Irish Gaelic" is also frequently used
      for the Irish language. The archaic term Erse (from Erische),
      originally a Scots form of the word Irish applied in Scotland (by
      Lowlanders) to all of the Goidelic languages, is no longer used for any
      Goidelic language.
[9]
      Galla o cecidio: escrescenza ben localizzata e determinata, costituita da
      tessuti di natura ipertrofica o iperplastica, che si sviluppa in un organo
      vegetale come reazione patologica allo stimolo esercitatovi da un elemento
      parassita, il quale se ne serve come dimora durante il periodo di
      sviluppo, traendone anche alimento. Per esempio, la cocciniglia (nome
      comune degli Insetti Emitteri della famiglia Coccidi) della lacca (Laccifer
      lacca) vive nell'India meridionale su molte piante, producendo
      un'abbondantissima secrezione (gomma lacca) utilizzata industrialmente.
[10]
      Il Vermiglio della quercia (Kermes vermilio Planchon, 1864) è un
      insetto omottero della famiglia Kermesidae (Coccoidea).
      Questa specie veniva raccolta, essiccata e polverizzata per usarla come
      colorante (lacca kermes). Lo stesso colorante era usato per conferire la
      colorazione all'alchermes, uno dei liquori di maggior impiego in
      pasticceria.
[11]
      Il crèmisi, o chermisi, è una tonalità di rosso luminosa e chiara che,
      contenendo alcune componenti di blu, tende lievemente al porpora.
[12]
      Il sorbo, o genere Sorbus, ha la corteccia grigia con chiazze
      bianche, rami giovani pubescenti, poi glabri, bruno-rossicci, legno duro,
      compatto, rossastro.
[13]
      On lit dans Chardin, vol. 2, pag. 103, qu’en arabe il y a mille
      synonymes pour exprimer un chameau, cinq cent pour un lion, deux cents
      pour dire du lait, quatre-vingt{s} pour le miel, etc. - In Jean Chardin
      (vol. 2, pag. 103) si legge che in arabo ci sono 1.000 sinonimi per
      esprimere un cammello, 500 per un leone, 200 per parlare del latte, 80 per
      il miele, etc. [de Théis] --- Jean Chardin, nato Jean-Baptiste
      Chardin e noto anche come Sir John Chardin, (Parigi, 16 novembre 1643 –
      Chiswick, 5 gennaio 1713), è stato un gioielliere, viaggiatore e
      scrittore francese, noto soprattutto per i resoconti dei suoi viaggi in
      Persia e nel Vicino Oriente. Nel 1686, pubblicò la prima parte dei suoi
      famosi Viaggi. Ma l'opera non fu completa fino al 1711, quando fu
      pubblicata, ad Amsterdam, con lo splendido titolo Voyages de monsieur
      le chevalier Chardin en Perse et autres lieux de l'Orient.
[14]
      Cubito: antica misura di lunghezza, in uso presso vari popoli mediterranei
      e variabile secondo i luoghi; presso i Greci e i Romani corrispondeva a
      circa 44,4 cm.
[15]
      Ambon (in italiano Ambòina) è un'isola dell'arcipelago delle Molucche,
      nel Mar di Banda, in Indonesia. Situata a sud-ovest dell'isola di Seram,
      appartiene amministrativamente alla provincia indonesiana di Maluku. La città principale è Ambon. --- Ambon, parfois encore
      appelée Amboine en français et Amboina en indonésien.