Traité des oiseaux de basse-cour
d’agrément et de produit
1891
Alphonse Gobin (1828-1893)

Trattato sugli animali da cortile
di gradimento e di prodotto
1891
di Alphonse Gobin (1828-1893)
Professore di zootecnia, di zoologia e di agricoltura

Trascrizione e traduzione di Elio Corti
2015

{} cancellazione – <> aggiunta oppure correzione


CAPITOLO I
Sezione 1

[1] CHAPITRE I
LE COQ ET LA POULE

CAPITOLO I
IL GALLO E LA GALLINA

§ 1. – CARACTÈRES ZOOLOGIQUES.

§ 1 – CARATTERI ZOOLOGICI

Le coq (Gallus) paraît tirer son nom des altérations successives du nom latin gallus, devenu en langue romane gal, qui se prononçait sans doute gaul, puis devenu gaû et gog, nom encore usité en Savoie, et enfin co, comme on l’appelle aujourd’hui encore dans la Normandie, et d’où l’on a fait Coq.

Il gallo (Gallus) sembra trarre il suo nome dalle alterazioni successive del nome latino gallus, diventato gal in lingua romanza, che senza dubbio si pronunciava gol, diventato poi gaû e gog, nome ancora in uso in Savoia, e infine co come ancora oggi lo si chiama in Normandia, e da cui si è creato Coq (gallo).

Dans la classification de Cuvier, le coq appartient à l’ordre des Gallinacés, à la famille des Gallinacés proprement dits, à la tribu des Faisans, au genre Coq et à l’espèce Coq domestique. Toussenel le rangeait dans son ordre des Vélocipèdes, série des [2] Pulvérateurs, sous-groupe des Plectroniens ou Éperonnés; Brehm le place dans son ordre de Pulvérateurs, et dans sa famille des Gallidés dont il est le type, et où il forme le genre Coq.

Nella classificazione di Cuvier il gallo appartiene all'ordine dei Gallinacei, alla famiglia dei Gallinacei propriamente detti, alla tribù dei Fagiani, al genere Gallo e alla specie Gallo domestico. Toussenel lo sistemava nel suo ordine dei Velocipedi, serie dei Polveratori o amanti del bagno antiparassitario nella polvere, sottogruppo dei Forniti di plettro o di sperone; Brehm lo pone nel suo ordine di Polveratori e nella sua famiglia dei Gallidi di cui è il tipo, e dove forma il genere Gallo.

En tout cas, le coq se distingue des autres gallinacés proprement dits par son corps épais, ses ailes courtes, concaves et très arrondies; par sa queue moyenne, légèrement tronquée et formée de quatorze pennes; par son bec moyennement long, fort, à mandibule supérieure convexe, à pointe recourbée; par ses tarses de la longueur du doigt médian, et armés d’un éperon arqué et aigu; par ses doigts, au nombre ordinaire de quatre, mais dans certaines races, de cinq; par son plumage abondant, orné, chez toutes les espèces connues, de couleurs vives et brillantes, mais extrêmement variées, depuis le blanc jusqu’au noir, en passant par le caillouté, le jaune, le chamois, le brun, etc., ayant le plus souvent des reflets métalliques chez le mâle; par sa tête, surmontée d’une crête simple ou double; chez certaines races, remplacée par une volumineuse aigrette de plumes.

In ogni caso il gallo si distingue dagli altri gallinacei propriamente detti per il suo corpo massiccio, le sue ali corte, concave e molto arrotondate, per la sua coda media, leggermente troncata e formata da 14 penne, per il suo becco discretamente lungo, forte, con mandibola superiore convessa, a punta ricurva, per i suoi tarsi della lunghezza del dito medio e armati di uno sperone arcuato e aguzzo, per le sue dita in numero ordinario di 4, ma in certe razze di 5, per il suo piumaggio abbondante, adorno, in tutte le specie conosciute, di colori vivi e brillanti, ma estremamente vari, dal bianco fino al nero, passando per lo screziato, il giallo, il camoscio, il bruno, ecc., dotato perlopiù di riflessi metallici nel maschio; per la sua testa sormontata da una cresta semplice o doppia, in certe razze sostituita da un voluminoso ciuffo di piume.

Toutes les espèces de coqs sauvages habitent les forêts, et de préférence celles qui sont le plus épaisses et le plus désertes; mais nous connaissons peu leurs mœurs. Parmi eux nous citerons brièvement:

Tutte le specie di galli selvatici abitano le foreste, e di preferenza quelle che sono più folte e più deserte; ma conosciamo poco i loro costumi. Tra essi citeremo brevemente:

Le coq Bankiva (Gallus Bankiva sive Ferrugineus) ou Kasintu, originaire de Java, habite l’Inde, du nord à l’ouest, l’Himalaya, jusqu’à douze cents mètres de hauteur, la Malaisie, l’Indo-Chine, les Philippines, l’archipel malais, etc.; il ressemble au petit coq de combat anglais, mais il porte la queue plus rabattue; [3] il a les plumes de la tête et du cou d’un beau jaune doré, celles du dos d’un beau pourpre, d’un rouge brillant au milieu, bordées de brun jaune; les plumes de la queue noires; l’œil rouge orangé. Il a la crête simple, assez fine, dentelée, et les barbillons rouges du coq domestique, les oreillons blanc nacré, les tarses gris plombé, quatre doigts au pied, et rouges aussi ses longues plumes autour du cou et au-dessus du croupion. Il n’a que 0m,30 à 0m,40 de hauteur, 0m,60 à 0m,65 de longueur du corps, 0m,20 à 0m,25 de longueur d’aile et 0m,33 à 0m,38 de longueur de queue: nous parlons ici du mâle, car la femelle est de taille plus petite, porte la queue presque horizontalement, n’a qu’une crête et des barbillons rudimentaires, porte les plumes du cou noires avec bordures blanc jaunâtre, celles du dos tachetées de brun noir, celles du ventre isabelle, et celles des ailes d’un beau noir. La patte est fine, sans plumes et de couleur brun vert. Les œufs sont de grosseur moyenne, par rapport à la taille de la poule, et d’un beau blanc.

Il gallo Bankiva (Gallus Bankiva sive Ferrugineus) o Kasintu, originario di Giava, abita l'India dal nord all'ovest, l’Himalaya fino a 1200 metri di altezza, la Malesia, l'Indocina, le Filippine, l'arcipelago malese, ecc.; somiglia al piccolo gallo combattente inglese, ma porta la coda più ripiegata; ha le piume della testa e del collo di un bel giallo dorato, quelle della schiena di un bel color porpora, di un rosso brillante al centro, bordate di bruno giallo; le piume della coda nere; l’occhio rosso aranciato. Ha la cresta semplice, abbastanza fine, dentellata, e i bargigli rossi del gallo domestico, gli orecchioni bianco madreperlaceo, i tarsi grigio piombo, 4 dita al piede, e rosse anche le sue lunghe piume intorno al collo e al di sopra del codrione. Ha solamente da 30 a 40 cm di altezza, da 60 a 65 cm di lunghezza del corpo, da 20 a 25 cm di lunghezza dell’ala e da 33 a 38 cm di lunghezza della coda: parliamo qui del maschio, perché la femmina è di taglia più piccola, porta la coda quasi orizzontalmente, ha solamente una cresta e dei bargigli rudimentali, ha le piume del collo nere con bordi bianco giallastri, quelle della schiena chiazzate di bruno nero, quelle del ventre color isabella cioè giallo marrone, e quelle delle ali di un bel nero. La zampa è sottile, senza piume e di colore bruno verde. Le uova sono di grandezza media, in rapporto alla taglia della gallina, e di un bel bianco.

M. La Perre de Roo a décrit (l’Acclimatation, n° 51, 21 décembre 1879) sous le nom de race des Ardennes, vivant en Belgique, une race qu’il dit ressembler beaucoup au coq Bankiva, par le plumage, la taille et le caractère. En effet, le coq a la tête fine et longue, la crête simple, droite, assez haute, régulièrement dentelée; l’œil rouge vif; les barbillons rouges, assez longs, larges et arrondis; les ailes longues et portées bas; la queue fournie et garnie de faucilles longues formant un superbe panache; les membres fins; les tarses de couleur gris plombé; le cou court et gros; de taille [4] moyenne; le plumage identique avec celui du coq de Bankiva; le caractère belliqueux et jaloux. La poule, beaucoup plus petite, est de couleur perdrix grise sur tout le corps; elle pond en abondance des œufs blancs et de bonne grosseur; elle est douce, mais craintive, et s’enfuit ou se cache à la vue de l’homme. Il est probable que cette race résulte d’une importation due aux Hollandais, au commencement de ce siècle, et sur laquelle ne paraissent s’être greffés que de rares croisements avec une race indigène, celle de Campine, dorée peut-être.

Il Signor La Perre de Roo ha descritto (l’Acclimatation, n° 51, 21 dicembre 1879) sotto il nome di razza delle Ardenne, vivente in Belgio, una razza che dice somigliare molto al gallo Bankiva per il piumaggio, la taglia e il carattere. In effetti il gallo ha la testa fine e lunga, la cresta semplice, dritta, abbastanza alta, regolarmente dentellata; l’occhio rosso vivo; i bargigli rossi, abbastanza lunghi, larghi e arrotondati; le ali lunghe e portate in basso; la coda ben fornita e dotata di lunghe falciformi che formano uno splendido pennacchio; gli arti sottili; i tarsi di colore grigio piombo; il collo corto e grosso; di taglia media; il piumaggio identico a quello del gallo Bankiva; il carattere bellicoso e geloso. La gallina, molto più piccola, è di colore grigio pernice su tutto il corpo; depone in abbondanza uova bianche e di buona grandezza; è dolce, ma timorosa, e fugge o si nasconde alla vista dell'uomo. È probabile che questa razza risulti da un'importazione dovuta agli Olandesi all’inizio di questo secolo, e sulla quale sembrano essersi inseriti solo rari incroci con una razza indigena, quella di Campine, forse dorata.

Le coq de Stanley, de Lafayette ou des Jungles (Gallus Stanleyii), diffère du précédent en ce qu’il a la poitrine brun rougeâtre, rayée de noir foncé; en outre, il n’a pas comme lui les couvertures des ailes brunâtres dans leur partie moyenne; enfin, il s’en éloigne encore par la crête et par sa voix toute particulière. Il est indigène de Ceylan. Sa taille est semblable à celle du Bankiva. La crête est simple, droite, moyennement haute, légèrement découpée en sept ou huit petites dents, jaune au milieu, rouge dans le reste; les barbillons longs, arrondis, rouges; les oreillons rouges aussi; les joues nues et rouges; le bec olivâtre, fort, légèrement crochu; les tarses de longueur moyenne, légers, nus, couleur de chair, avec quatre doigts à la patte; la queue longue et portée rabattue. La poule porte le plumage brun roussâtre plus ou moins vermiculé ou taché de jaune et de noir.

Il gallo di Stanley, di Lafayette o delle Giungle (Gallus Stanleyii), differisce dal precedente per il fatto che ha il petto bruno rossastro, rigato di nero scuro; inoltre, non ha come lui le copritrici delle ali brunastre nella loro parte media; infine se ne discosta anche per la cresta e per la sua voce tutta particolare. È indigeno di Ceylon. La sua taglia è simile a quella del Bankiva. La cresta è semplice, dritta, discretamente alta, leggermente ritagliata in 7 o 8 piccoli denti, gialla al centro, rossa nel resto; i bargigli lunghi, arrotondati, rossi; anche gli orecchioni rossi; le guance nude e rosse; il becco olivastro, forte, leggermente uncinato; i tarsi di lunghezza media, leggeri, nudi, di color carne, con quattro dita alla zampa; la coda lunga e portata ripiegata. La gallina ha il piumaggio bruno rossastro più o meno a forma di vermi o macchiato di giallo e di nero.

Le coq de Java, ou Ayamalas, ou Gangegar (Gallus Furcatus seu varius), ou à queue fourchue, se rencontre à Java et dans les îles qui sont à l’est jusqu’à [5] Flores. La tête et la partie antérieure du cou sont nues. Son plumage général est d’un beau vert sombre, à reflets métalliques; son œil est jaune clair. Le coq a le bec fort, court et crochu; le bec noir à la mandibule supérieure et jaune à l’inférieure; la crête est simple, haute, lisse (sans dentelures), tricolore, c’est-à-dire verdâtre à la base, jaune au milieu, rouge à la pointe; les joues sont nues et rouges; les oreillons absents; un seul barbillon médian, très long, tricolore comme la crête; le cou entouré d’une sorte de collerette; les tarses fins, nus, gris clair ou couleur de chair, armés d’un long éperon; quatre doigts à la patte; la queue assez longue et portée horizontalement; sa taille est celle du coq de Sonnerat. La poule est plus petite, n’a ni crête ni barbillons, a les joues couvertes de plume; enfin, le chant du coq est différent de celui du coq de nos basses-cours. D’après M. Crawfurd, on élève, pour leur beauté, des hybrides du coq de Java avec la poule domestique, mais ils seraient toujours inféconds. Pourtant Darwin affirme que l’on a obtenu, au Jardin zoologique de Londres, de ces hybrides féconds qui ne seraient autre chose que le Gallus Æneus, dont on avait pendant longtemps fait une espèce distincte.

Il gallo di Giava, o Ayamalas, o Gangegar (Gallus Furcatus seu varius), o a coda forcuta, si incontra a Giava e nelle isole che si trovano a est fino a Flores. La testa e la parte anteriore del collo sono nude. Il suo piumaggio generale è di un bel verde scuro, con riflessi metallici; il suo occhio è giallo chiaro. Il gallo ha il becco forte, corto e adunco; il becco è nero nella mandibola superiore e giallo nell'inferiore; la cresta è semplice, alta, liscia (senza dentellature), tricolore, cioè verdastra alla base, gialla al centro, rossa alla punta; le guance sono nude e rosse; gli orecchioni assenti; un solo bargiglio mediano, molto lungo, tricolore come la cresta; il collo cinto da una sorta di collaretto; i tarsi sottili, nudi, grigio chiaro o color carne, armati di un lungo sperone; 4 dita alla zampa; la coda abbastanza lunga e portata orizzontalmente; la sua taglia è quella del gallo di Sonnerat. La gallina è più piccola, non ha né cresta né bargigli, ha le guance coperte di piuma; infine, il canto del gallo è diverso da quello del gallo dei nostri cortili. Secondo il Signor Crawfurd, per la loro bellezza si allevano degli ibridi del gallo di Giava con la gallina domestica, ma sarebbero sempre infecondi. Eppure Darwin afferma che nel Giardino zoologico di Londra si sono ottenuti di questi ibridi fecondi che non sarebbero altro che il Gallus Æneus di cui si era fatta una specie distinta per molto tempo.

On désigne, en Europe, un grand nombre de familles de poules sous le nom de race de Java; celles qui se rapprochent le plus du type primitif ont les joues recouvertes de touffes de petites plumes; le coq porte la queue très relevée avec de grandes faucilles; leur taille égale à peine celle des Bantam; il y en a des variétés toutes noires et d’autres toutes blanches.

In Europa si designa un gran numero di famiglie di galline sotto il nome di razza di Giava; quelle che si avvicinano di più al tipo primitivo hanno le guance ricoperte da ciuffi di piccole piume; il gallo porta la coda molto sollevata con grandi falciformi; la loro taglia uguaglia appena quella dei Bantam; ce ne sono delle varietà tutte nere e altre tutte bianche.

Le coq de Sonnerat (Gallus Sonneratii), ou Katucoli, [6] est indigène de l’Inde méridionale, et principalement des montagnes des Gates ou des Ghauts, sur lesquelles il offre, à différentes hauteurs, deux variétés bien marquées, méritant peut-être le nom d’espèces. Ses plumes sétiformes consistent en lames cornées très particulières, transversalement barrées de trois couleurs; il manque de vraies plumes sétiformes sur le dos, où elles sont, comme les couvertures des ailes, dépourvues de barbes; sa crête est très finement dentelée; son œil est jaune brun clair, son bec jaunâtre, ses pattes d’un jaune clair; sa voix diffère sensiblement de celle des autres espèces et aussi du coq domestique. Il est un peu plus grand et plus fort que le coq Bankiva, et égale à peu près la taille du faisan doré. Le coq a le bec long, fort et crochu, de couleur jaunâtre; la crête simple, droite, irrégulièrement et légèrement dentelée, rouge, naissant au-dessus des narines, mais peu prolongée en arrière; les joues nues et rouges; les oreillons rouges et plaqués; les barbillons rouges, pointus, de médiocre longueur; le cou enveloppé comme d’une collerette; les tarses fins, nus, couleur de chair ou jaune clair; quatre doigts à la patte.

Il gallo di Sonnerat (Gallus Sonneratii), o Katucoli, è indigeno dell’India meridionale e principalmente delle montagne dei Gates o dei Ghauts, sulle quali offre, a differenti altezze, due varietà molto marcate, che meritano forse il nome di specie. Le sue piume setolose consistono in lame cornee molto particolari, trasversalmente barrate da 3 colori; manca di vere piume setolose sulla schiena, dove sono, come le copritrici delle ali, prive di barbe; la sua cresta è molto finemente dentellata; il suo occhio è giallo bruno chiaro, il suo becco giallastro, le sue zampe di un giallo chiaro; la sua voce differisce sensibilmente da quella delle altre specie e anche del gallo domestico. È un po’ più grande e più forte del gallo Bankiva, e uguaglia pressapoco la taglia del fagiano dorato. Il gallo ha il becco lungo, forte e adunco, di colore giallastro; la cresta semplice, dritta, irregolarmente e leggermente dentellata, rossa, che nasce al di sopra delle narici, ma poco estesa posteriormente; le guance nude e rosse; gli orecchioni rossi e placcati; i bargigli rossi, appuntiti, di lunghezza mediocre; il collo avvolto come da un collaretto; i tarsi fini, nudi, colore carne o giallo chiaro; 4 dita alla zampa.

Le coq géant ou Yago, ou Chittagong (Gallus giganteus), qui vit sauvage dans les forêts méridionales de Sumatra, et à l’état domestique, sous le nom de Kulm-Cock, dans le pays des Mahrattes, ne paraît pas être une espèce distincte, mais une race domestique pure ou croisée revenue à l’état sauvage. C’est un coq de grande taille, que l’on a considéré, peut-être avec raison, comme étant la souche du coq de Caux ou de [7] Padoue, ou du coq russe de nos basses-cours, mais auquel on rapporte les coqs de Rhodes et de Perse. Le coq de Temminck paraît être aussi le résultat d’un croisement.

Il gallo gigante o Yago, o Chittagong (Gallus giganteus), che vive selvatico nelle foreste meridionali di Sumatra, e allo stato domestico, col nome di Kulm-Cock, nel paese dei Mahrattes (sud dell’India), non sembra essere una specie distinta, ma una razza domestica pura o incrociata ritornata allo stato selvatico. È un gallo di grande taglia, che è stato considerato, forse a ragione, come il capostipite del gallo di Caux o di Padova, o del gallo russo dei nostri cortili, ma al quale si ricollegano i galli di Rodi e della Persia. Il gallo di Temminck sembra pure essere il risultato di un incrocio.